La décision, selon l’agence de presse officielle émiratie WAM, a été prise à la suite d’un appel téléphonique « constructif » entre le prince héritier d’Abou Dabi, cheikh Mohammed ben Zayed, et le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou.
Grâce à ce fonds de 10 milliards de dollars (environ 8,3 milliards d’euros), les Émirats « investiront en Israël et aux côtés d’Israël, dans des secteurs tels que la production d’énergie, l’eau, l’espace, la santé et l’agrotechnologie », précise WAM.
Les deux pays ont signé l’année dernière un accord de normalisation de leurs relations, sous l’égide du président américain d’alors Donald Trump.
L’accord a fait des Émirats le troisième État arabe à établir des relations avec Israël, après l’Égypte en 1979 et la Jordanie en 1994.
Bahreïn, le Maroc et le Soudan ont par la suite conclu des accords similaires négociés par les États-Unis avec l’État hébreu.
Le fonds « vise à soutenir les relations économiques entre les deux économies prospères de la région, débloquant des opportunités d’investissements et de partenariat », a indiqué WAM.
Il est noté que « ces fonds proviendront des secteurs privé et gouvernemental ».
L’annonce intervient alors que M. Nétanyahou a été forcé jeudi de reporter sa première visite officielle aux Émirats arabes unis en raison d’un « différend » avec la Jordanie concernant le survol de son espace aérien, selon son bureau.
Mais il a dit avoir convenu avec cheikh Mohammed ben Zayed de le rencontrer « très bientôt ».
M. Nétanyahou avait également indiqué plus tôt que les Émirats arabes unis allaient investir 10 milliards de dollars en Israël. (AFP)
Grâce à ce fonds de 10 milliards de dollars (environ 8,3 milliards d’euros), les Émirats « investiront en Israël et aux côtés d’Israël, dans des secteurs tels que la production d’énergie, l’eau, l’espace, la santé et l’agrotechnologie », précise WAM.
Les deux pays ont signé l’année dernière un accord de normalisation de leurs relations, sous l’égide du président américain d’alors Donald Trump.
L’accord a fait des Émirats le troisième État arabe à établir des relations avec Israël, après l’Égypte en 1979 et la Jordanie en 1994.
Bahreïn, le Maroc et le Soudan ont par la suite conclu des accords similaires négociés par les États-Unis avec l’État hébreu.
Le fonds « vise à soutenir les relations économiques entre les deux économies prospères de la région, débloquant des opportunités d’investissements et de partenariat », a indiqué WAM.
Il est noté que « ces fonds proviendront des secteurs privé et gouvernemental ».
L’annonce intervient alors que M. Nétanyahou a été forcé jeudi de reporter sa première visite officielle aux Émirats arabes unis en raison d’un « différend » avec la Jordanie concernant le survol de son espace aérien, selon son bureau.
Mais il a dit avoir convenu avec cheikh Mohammed ben Zayed de le rencontrer « très bientôt ».
M. Nétanyahou avait également indiqué plus tôt que les Émirats arabes unis allaient investir 10 milliards de dollars en Israël. (AFP)