Dominique Strauss-Kahn, ancien DG du FMI, ex ministre français de l'Economie
L’homme d’affaires Dominique Strauss-Kahn a obtenu de la présidence sénégalaise un ou des marchés ou services rémunérés à hauteur de 875 000 euros (environ 574 millions de francs CFA). C’est le compte de la société « PARNASSE INTERNATIONAL » qui a été crédité de ladite somme, selon des documents révélés par le Consortium international des journalistes d’investigations (ICIJ) à travers les « Pandora Papers ».
Parnasse International, propriété de l’ex ministre français de l’Economie, est installée depuis 2013 à « Casablanca Finance City », une zone franche de la grande métropole marocaine qui offre des avantages fiscaux importants aux investisseurs.
La transaction est inscrite dans la rubrique VTE du « Grand-livre des comptes » de la société de droit marocain à la date du 24 février 2017.
Le 22 janvier 2017, Dominique Strauss-Kahn avait été reçu au palais de la République par le Président Macky Sall, en présence de Amadou Bâ et Birima Manga, alors ministres en poste aux Finances et à l’Economie. Une deuxième audience avec le chef de l’Etat sénégalais avait eu lieu en février de la même année, « sur demande de DSK », indiquait la Tribune de Genève dans une de ses éditions en ligne.
La présidence de la République n’a jamais communiqué à ce sujet. Le mystère reste entier et total quant à la nature et l'amplitude des prestations et/conseils que l'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) a pu livrer aux autorités sénégalaises en échange de cette rémunération.
Parnasse International, propriété de l’ex ministre français de l’Economie, est installée depuis 2013 à « Casablanca Finance City », une zone franche de la grande métropole marocaine qui offre des avantages fiscaux importants aux investisseurs.
La transaction est inscrite dans la rubrique VTE du « Grand-livre des comptes » de la société de droit marocain à la date du 24 février 2017.
Le 22 janvier 2017, Dominique Strauss-Kahn avait été reçu au palais de la République par le Président Macky Sall, en présence de Amadou Bâ et Birima Manga, alors ministres en poste aux Finances et à l’Economie. Une deuxième audience avec le chef de l’Etat sénégalais avait eu lieu en février de la même année, « sur demande de DSK », indiquait la Tribune de Genève dans une de ses éditions en ligne.
La présidence de la République n’a jamais communiqué à ce sujet. Le mystère reste entier et total quant à la nature et l'amplitude des prestations et/conseils que l'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) a pu livrer aux autorités sénégalaises en échange de cette rémunération.