Dans l’émission « Face to Face » qui sera diffusée ce dimanche sur la TFM, Youssou Ndour, président du Groupe Futurs Médias (GFM), parle de politique, en rapport avec la majorité présidentielle à laquelle il appartient depuis 2012, mais aussi de caisse d’avance, ce dossier qui vaut à Khalifa Sall et à cinq de ses collaborateurs une détention préventive depuis plus d’un an et un procès de plusieurs semaines dont le verdict sera connu le 30 mars prochain.
Dans les extraits publiés ce jour par nos confrères de L’Observateur, Youssou Ndour parle de déception dans un intertitre de l’article intitulé «Compagnonnage avec Macky Sall», mais les propos qu’il tient ne semblent adressés à personne.
«Je suis déçu. Je ne suis l’animateur encore moins la marionnette de qui que ce soit. Le Sénégal est un et indivisible. Il faut respecter les populations de ce pays. Je suis aimé des populations. Je ne suis pas apériste. On ne peut m’interdire aucun endroit dans ce pays. Je n’ai pas de sens interdit au Sénégal…»
"Les Sénégalais doivent savoir ce qu'ils veulent"
«La politique, c’est l’art de gérer. Faire la politique, c’est contribuer à la marche de son pays. Quand on ne fait pas la politique, c’est elle qui nous fait, puisque les décisions politiques ont un impact sur nous. Au-delà de tout, on est des Sénégalais. Il n’y a pas de distinction entre le Sénégalais qui a fait l’université, celui qui excelle dans la vente d’eau, et le taximan. C’est possible pour tout le monde maintenant. Les Sénégalais doivent savoir ce qu’ils veulent. On ne s’engage pas en politique pour devenir riche. On rend grâce à Dieu. On s’est engagé en politique sans aucun intérêt personnel, jute pour servir notre pays.»
Dans les extraits publiés ce jour par nos confrères de L’Observateur, Youssou Ndour parle de déception dans un intertitre de l’article intitulé «Compagnonnage avec Macky Sall», mais les propos qu’il tient ne semblent adressés à personne.
«Je suis déçu. Je ne suis l’animateur encore moins la marionnette de qui que ce soit. Le Sénégal est un et indivisible. Il faut respecter les populations de ce pays. Je suis aimé des populations. Je ne suis pas apériste. On ne peut m’interdire aucun endroit dans ce pays. Je n’ai pas de sens interdit au Sénégal…»
"Les Sénégalais doivent savoir ce qu'ils veulent"
«La politique, c’est l’art de gérer. Faire la politique, c’est contribuer à la marche de son pays. Quand on ne fait pas la politique, c’est elle qui nous fait, puisque les décisions politiques ont un impact sur nous. Au-delà de tout, on est des Sénégalais. Il n’y a pas de distinction entre le Sénégalais qui a fait l’université, celui qui excelle dans la vente d’eau, et le taximan. C’est possible pour tout le monde maintenant. Les Sénégalais doivent savoir ce qu’ils veulent. On ne s’engage pas en politique pour devenir riche. On rend grâce à Dieu. On s’est engagé en politique sans aucun intérêt personnel, jute pour servir notre pays.»
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