La Constitution du Sénégal est très claire sur la question du mandat du président de la République et ne laisse place à aucune interprétation sur la possibilité d’un troisième mandat, a assuré jeudi le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Ismaëla Madior Fall.
‘’L’article 27 de la Constitution dit : + Le Chef de l’Etat est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une fois. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs+’’, a-t-il argumenté à en marge d’une visite, à Sébikhotane, d’établissements pénitentiaires. Et de marteler : ‘’Il n’y a pas place à aucune interprétation.’’
En début de semaine, le constitutionnaliste Babacar Guèye a évoqué en début de semaine la possibilité pour le chef de l’Etat, Macky Sall, de se présenter à un troisième mandat en 2024 ‘’faute de dispositions transitoires dans la nouvelle constitution’’.
Aujourd’hui, c’était au tour du Pr Jacques Mariel Nzouankeu de confirmer la « possibilité » ouverte pour le chef de l’Etat de briguer un troisième mandat consécutif au terme d’un potentiel premier quinquennat (2019-2024).
Interrogé également sur la question des honoraires des avocats qui réclament chacun 1,2 milliard à l’Etat dans l’affaire de la ‘’traque des biens mal acquis’’, il a annoncé une rencontre avec les concernés pour discuter de la question et ‘’trouver une formule qui va convenir aux deux parties’’. (avec APS)
‘’L’article 27 de la Constitution dit : + Le Chef de l’Etat est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une fois. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs+’’, a-t-il argumenté à en marge d’une visite, à Sébikhotane, d’établissements pénitentiaires. Et de marteler : ‘’Il n’y a pas place à aucune interprétation.’’
En début de semaine, le constitutionnaliste Babacar Guèye a évoqué en début de semaine la possibilité pour le chef de l’Etat, Macky Sall, de se présenter à un troisième mandat en 2024 ‘’faute de dispositions transitoires dans la nouvelle constitution’’.
Aujourd’hui, c’était au tour du Pr Jacques Mariel Nzouankeu de confirmer la « possibilité » ouverte pour le chef de l’Etat de briguer un troisième mandat consécutif au terme d’un potentiel premier quinquennat (2019-2024).
Interrogé également sur la question des honoraires des avocats qui réclament chacun 1,2 milliard à l’Etat dans l’affaire de la ‘’traque des biens mal acquis’’, il a annoncé une rencontre avec les concernés pour discuter de la question et ‘’trouver une formule qui va convenir aux deux parties’’. (avec APS)