"Je n'ai jamais dis que Khalifa Sall devrait être libéré. J'ai dit en m'adressant aux professionnels du droit que l'État du Sénégal doit respecter l'arrêt de la Cour de justice de la Cedeao... Qu'un journaliste interprète mes propos, je peux tolérer. Mais qu'un avocat reprenne ces propos, c'est extrêmement grave. Lorsque l'on dit que le procureur a demandé la libération de Khalifa Sall et retourné sa veste par écrit, c'est plus que grave."
Au cours de l'audience heurtée de ce mercredi, le Procureur général a réaffirmé sa soumission au droit de réserve. D'où sa propension à ne pas réagir aux "attaques" dont il fait l'objet.
"Depuis le début de ce procès, beaucoup choses ont été dites. Mais à chaque fois, je refuse les débats de rues."
Au cours de l'audience heurtée de ce mercredi, le Procureur général a réaffirmé sa soumission au droit de réserve. D'où sa propension à ne pas réagir aux "attaques" dont il fait l'objet.
"Depuis le début de ce procès, beaucoup choses ont été dites. Mais à chaque fois, je refuse les débats de rues."