Le président somalien Mohamed Abdullahi Mohamed, dit Farmaajo, a signé, mercredi 14 avril, une loi controversée prolongeant de deux ans son mandat, arrivé à échéance le 8 février. Un texte qui inquiète particulièrement la communauté internationale. Le président a «promulgué la résolution spéciale guidant les élections du pays, après son adoption à l’unanimité par le Parlement» lundi soir, a annoncé Radio Mogadiscio.
Le chef de la Chambre haute somalienne avait pourtant jugé inconstitutionnel lundi ce vote de la Chambre du peuple, chambre basse du Parlement fédéral, et cette résolution n’est pas passée devant la Chambre haute, comme le prévoit le processus législatif. Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrel, avait déjà estimé mardi que cette résolution allait «diviser la Somalie, créer des retards supplémentaires et constituer une grave menace pour la paix et la stabilité de la Somalie et de ses voisins».
Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, avait quant à lui jugé sur Twitter qu’elle «sape davantage la paix et la sécurité du pays» et appelé le «gouvernement fédéral et les états fédéraux de la Somalie à reprendre les pourparlers». (Le Monde avec AFP)
Le chef de la Chambre haute somalienne avait pourtant jugé inconstitutionnel lundi ce vote de la Chambre du peuple, chambre basse du Parlement fédéral, et cette résolution n’est pas passée devant la Chambre haute, comme le prévoit le processus législatif. Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrel, avait déjà estimé mardi que cette résolution allait «diviser la Somalie, créer des retards supplémentaires et constituer une grave menace pour la paix et la stabilité de la Somalie et de ses voisins».
Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, avait quant à lui jugé sur Twitter qu’elle «sape davantage la paix et la sécurité du pays» et appelé le «gouvernement fédéral et les états fédéraux de la Somalie à reprendre les pourparlers». (Le Monde avec AFP)