Mamadou Ly s'adressant à la presse. A sa gauche, Pape Sadio Thiam, du comité d'initiative "Sargal Ma revue de presse"
Le Pr Abdoulaye Bathily est sans doute celui qui aura sorti de sa hotte l’une des expressions adaptées au dévouement de Mamadou Ly : « l’homme qui écrit l’histoire du Sénégal au quotidien dans le contexte des événements ». Mamadou Oumar Ndiaye, patron du Groupe éditeur du quotidien « Le Témoin », assimile l’homme derrière « Ma Revue de Presse » à un « un inspirateur de presse », celui par qui des journalistes de la presse écrite peuvent contrecarrer le syndrome de la page blanche. Une « preuve d’inventivité » qui mérite d’être célébrée, selon Amadou Kane, ancien ministre es Finances et ex-DG de la Bicis.
Il y avait du monde ce 20 août 2022 à « La Maison de la presse Babacar Touré » pour saluer le travail de « service public » qu’accomplit Mamadou Ly alias « Ma Revue de Presse » depuis plusieurs années au profit de toutes les couches de la population sénégalaise, d’ici et de la diaspora, mais également pour tous ceux qui s’intéressent à l’actualité au Sénégal sous toutes les coutures. En cela, la plateforme médias conçue et rendue opérationnelle par Mamadou Ly reste un formidable outil d’information « dans un monde où la communication a changé visage », note le journaliste producteur Khalil Guèye.
« Un pionnier de la presse à sa façon »
Pour l’ancien ministre de la Communication Abdoulaye Elimane Kane, il est heureux que le « Sargal » dédié à Mamadou Ly se déroule dans un lieu qui a immortalisé la mémoire et l’œuvre du défunt Babacar Touré, fondateur du Groupe Sud Communication et de ses différents supports (Sud Fm, Sud Quotidien, etc.). Il a salué « la discrétion, le pragmatisme, la courtoisie » et l’œuvre d’utilité publique qui caractère Mamadou Ly et qui en font également « un pionnier » à sa façon dans la presse sénégalaise.
Etudiant rentré au pays après plusieurs années d’études, Mamadou Ly a travaillé avec le patronat sénégalais, s’est forgé dans le secteur privé national, puis s’est lancé en politique en rejoignant « L’Appel du 16 juin » de Moustapha Niasse. Un engagement qui en fera le principal responsable administratif de l’Alliance des forces de progrès (AFP) pendant plusieurs années.
« Mamadou Ly a été un acteur engagé permanent des processus récents qui ont marqué l’histoire politique du Sénégal, en particulier l’alternance de 2000, les Assises nationales », rappelle Abdoulaye Bathily.
« Ma Revue de Presse » a été en effet une cheville ouvrière dans l’information et la communication autour de ces Assises pour lesquelles son travail a été salué par différents acteurs dont Abdoulaye Bathily lui-même, le général Mamadou Mansour Seck, les Pr Ibrahima Fall, Buuba Diop, Penda Mbow, Boubacar Barry. Ce travail de fourmi accompli dans l’ombre, mais aussi celui exigé par la mise à disposition quotidienne des faits médiatiques journaliers, ont fait réfléchir Mademba Ndiaye.
« Cet homme est un intégriste des tâches ingrates. Il est de la catégorie des gens qui aiment rédiger des notes, des invitations et des communiqués, envoyer des convocations. C’est un homme bien pour les autres parce qu’il aime faire les boulots que d’autres n’aiment pas », a dit l’ancien journaliste passé à la Banque mondiale.
« Un intégriste des tâches ingrates »
Pour Mademba Ndiaye, le citoyen Mamadou Ly, par ses activités quotidiennes, « fait survivre la crédibilité de la presse écrite sénégalaise à l’ère des réseaux sociaux. Cette presse écrite doit donc pouvoir participer à un business model gagnant-gagnant avec l’auteur de « Ma Revue de Presse ».
Cette question de la « rémunération » de Mamadou Ly à travers son travail quotidien a été soulevée en amont par le banquier Amadou Kane, curieux de savoir ce que gagne cette « pépite » qu’est devenue Ma Revue de Presse. A la suite, les éditeurs de presse ont été gentiment invités à réfléchir à des modalités de soutien à Mamadou Ly pour la visibilité et la promotion qu’il apporte à leurs titres face au rouleau compresseur des réseaux sociaux. Une invitation à laquelle Mamadou Oumar Ndiaye a répondu favorablement, avec un enthousiasme bien senti derrière lequel il a exprimé toute sa « fraternité » à Mamadou Ly.
Les productions de Ly sont particulièrement suivies hors du Sénégal par la Diaspora, a témoigné le Pr Buuba Diop. « Sous le régime de la Covid-19, c’était encore plus flagrant », a ajouté l’historien. Sa collègue Penda Mbow avoue que c’est la lecture de cette revue de presse qui détermine son comportement en tant que soutien et acheteur de journaux sénégalais.
« Je suis séduite par l’équité dont fait preuve Mamadou Ly dans sa sélection des productions, tout le monde y passe et chacun peut y trouver son compte. C’est un travail d’utilité publique qui mérite d’être soutenu », a souligné Penda Mbow.
Prenant la parole, Mamadou Ly a dit les mots suivants :
Il y avait du monde ce 20 août 2022 à « La Maison de la presse Babacar Touré » pour saluer le travail de « service public » qu’accomplit Mamadou Ly alias « Ma Revue de Presse » depuis plusieurs années au profit de toutes les couches de la population sénégalaise, d’ici et de la diaspora, mais également pour tous ceux qui s’intéressent à l’actualité au Sénégal sous toutes les coutures. En cela, la plateforme médias conçue et rendue opérationnelle par Mamadou Ly reste un formidable outil d’information « dans un monde où la communication a changé visage », note le journaliste producteur Khalil Guèye.
« Un pionnier de la presse à sa façon »
Pour l’ancien ministre de la Communication Abdoulaye Elimane Kane, il est heureux que le « Sargal » dédié à Mamadou Ly se déroule dans un lieu qui a immortalisé la mémoire et l’œuvre du défunt Babacar Touré, fondateur du Groupe Sud Communication et de ses différents supports (Sud Fm, Sud Quotidien, etc.). Il a salué « la discrétion, le pragmatisme, la courtoisie » et l’œuvre d’utilité publique qui caractère Mamadou Ly et qui en font également « un pionnier » à sa façon dans la presse sénégalaise.
Etudiant rentré au pays après plusieurs années d’études, Mamadou Ly a travaillé avec le patronat sénégalais, s’est forgé dans le secteur privé national, puis s’est lancé en politique en rejoignant « L’Appel du 16 juin » de Moustapha Niasse. Un engagement qui en fera le principal responsable administratif de l’Alliance des forces de progrès (AFP) pendant plusieurs années.
« Mamadou Ly a été un acteur engagé permanent des processus récents qui ont marqué l’histoire politique du Sénégal, en particulier l’alternance de 2000, les Assises nationales », rappelle Abdoulaye Bathily.
« Ma Revue de Presse » a été en effet une cheville ouvrière dans l’information et la communication autour de ces Assises pour lesquelles son travail a été salué par différents acteurs dont Abdoulaye Bathily lui-même, le général Mamadou Mansour Seck, les Pr Ibrahima Fall, Buuba Diop, Penda Mbow, Boubacar Barry. Ce travail de fourmi accompli dans l’ombre, mais aussi celui exigé par la mise à disposition quotidienne des faits médiatiques journaliers, ont fait réfléchir Mademba Ndiaye.
« Cet homme est un intégriste des tâches ingrates. Il est de la catégorie des gens qui aiment rédiger des notes, des invitations et des communiqués, envoyer des convocations. C’est un homme bien pour les autres parce qu’il aime faire les boulots que d’autres n’aiment pas », a dit l’ancien journaliste passé à la Banque mondiale.
« Un intégriste des tâches ingrates »
Pour Mademba Ndiaye, le citoyen Mamadou Ly, par ses activités quotidiennes, « fait survivre la crédibilité de la presse écrite sénégalaise à l’ère des réseaux sociaux. Cette presse écrite doit donc pouvoir participer à un business model gagnant-gagnant avec l’auteur de « Ma Revue de Presse ».
Cette question de la « rémunération » de Mamadou Ly à travers son travail quotidien a été soulevée en amont par le banquier Amadou Kane, curieux de savoir ce que gagne cette « pépite » qu’est devenue Ma Revue de Presse. A la suite, les éditeurs de presse ont été gentiment invités à réfléchir à des modalités de soutien à Mamadou Ly pour la visibilité et la promotion qu’il apporte à leurs titres face au rouleau compresseur des réseaux sociaux. Une invitation à laquelle Mamadou Oumar Ndiaye a répondu favorablement, avec un enthousiasme bien senti derrière lequel il a exprimé toute sa « fraternité » à Mamadou Ly.
Les productions de Ly sont particulièrement suivies hors du Sénégal par la Diaspora, a témoigné le Pr Buuba Diop. « Sous le régime de la Covid-19, c’était encore plus flagrant », a ajouté l’historien. Sa collègue Penda Mbow avoue que c’est la lecture de cette revue de presse qui détermine son comportement en tant que soutien et acheteur de journaux sénégalais.
« Je suis séduite par l’équité dont fait preuve Mamadou Ly dans sa sélection des productions, tout le monde y passe et chacun peut y trouver son compte. C’est un travail d’utilité publique qui mérite d’être soutenu », a souligné Penda Mbow.
Prenant la parole, Mamadou Ly a dit les mots suivants :
« Notre reconnaissance va d’abord et avant tout aux initiateurs et organisateurs de cette belle cérémonie d’hommage empreinte de générosité envers notre modeste personne. Nous avons été touchés par la présence de chacune et de chacun d’entre vous, malgré diverses contraintes, ainsi que par les nombreux témoignages livrés.
Nous recevons cette générosité et cette délicatesse, que vous avez manifestées à notre attention, comme autant de marques d’encouragements. »