PARIS (Reuters) - Seul un Français sur quatre (25%) souhaite que François Fillon maintienne sa candidature à l'élection présidentielle, soit 10 points de moins que début février, selon un sondage Harris Interactive pour Atlantico et RMC, réalisé après sa déclaration à la presse et publié jeudi.
Le 6 février, ils étaient 35% à souhaiter que le candidat de la droite et du centre, fragilisé par l'ouverture d'une information judiciaire sur des soupçons d'emplois fictifs dont auraient bénéficié sa femme et ses enfants, reste en lice.
Chez les sympathisants Les Républicains, ils sont 53% à souhaiter le maintien de sa candidature (contre 67% le 6 février) et 48% chez l'ensemble des sympathisants de la droite et du centre (contre 59%).
De la même manière, les personnes interrogées sont moins confiantes que par le passé sur la capacité de François Fillon, qui sera convoqué le 15 mars par les juges en vue d'une éventuelle mise en examen, à remporter l'élection présidentielle d'avril-mai.
Dix-sept pour cent pensent qu'il remportera "certainement ou probablement" l'élection, soit une baisse de 11 points par rapport au 6 février.
Sur la déclaration de l'ancien Premier ministre en tant que telle, quarante-trois pour cent des personnes interrogées sont d'accord avec l’argument utilisé selon lequel il n’aurait pas été traité "comme un justiciable comme les autres" et 38% avec le fait qu’il s’agirait d’un "assassinat politique".
Soixante-dix-sept pour cent des personnes sondées ne souhaitent pas que "la justice fasse une pause des investigations" visant des candidats à l’élection présidentielle.
Le sondage a été réalisé en ligne mercredi après la déclaration à la presse de François Fillon auprès d'un échantillon de 980 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas.
Le 6 février, ils étaient 35% à souhaiter que le candidat de la droite et du centre, fragilisé par l'ouverture d'une information judiciaire sur des soupçons d'emplois fictifs dont auraient bénéficié sa femme et ses enfants, reste en lice.
Chez les sympathisants Les Républicains, ils sont 53% à souhaiter le maintien de sa candidature (contre 67% le 6 février) et 48% chez l'ensemble des sympathisants de la droite et du centre (contre 59%).
De la même manière, les personnes interrogées sont moins confiantes que par le passé sur la capacité de François Fillon, qui sera convoqué le 15 mars par les juges en vue d'une éventuelle mise en examen, à remporter l'élection présidentielle d'avril-mai.
Dix-sept pour cent pensent qu'il remportera "certainement ou probablement" l'élection, soit une baisse de 11 points par rapport au 6 février.
Sur la déclaration de l'ancien Premier ministre en tant que telle, quarante-trois pour cent des personnes interrogées sont d'accord avec l’argument utilisé selon lequel il n’aurait pas été traité "comme un justiciable comme les autres" et 38% avec le fait qu’il s’agirait d’un "assassinat politique".
Soixante-dix-sept pour cent des personnes sondées ne souhaitent pas que "la justice fasse une pause des investigations" visant des candidats à l’élection présidentielle.
Le sondage a été réalisé en ligne mercredi après la déclaration à la presse de François Fillon auprès d'un échantillon de 980 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas.