Dakar - Des groupes français vont réaliser le train express de Dakar, un projet combinant l'électricité et le diesel d'un coût de 225 millions d'euros devant entrer en service en 2019, ont annoncé vendredi les autorités sénégalaises et les sociétés contractantes.
Ce Train express régional (TER) vise à désengorger Dakar, une agglomération de quelque 3 millions d'habitants - près du quart de la population globale - confrontée à des problèmes de circulation en raison d'embouteillages au quotidien.
La construction du TER s'inscrit, selon les autorités sénégalaises, dans le cadre du Plan Sénégal Emergent, un plan de développement lancé par le président Macky Sall en 2014 pour faire du Sénégal un pays émergent à l'horizon 2035.
« Aujourd'hui, notre pays franchit en vitesse une étape significative de sa marche résolue vers l'émergence », a déclaré le président sénégalais qui a donné rendez-vous le lundi 14 janvier 2019 pour l'inauguration du TER.
Le groupe énergétique français Engie a déclaré dans un communiqué qu'il allait conduire et piloter, en partenariat avec (le groupe français) Thales, le marché de conception et réalisation des systèmes ferroviaires du TER de Dakar.
De même source, le montant du contrat signé avec l'Etat du Sénégal pour la construction de ces systèmes est de 225 millions d'euros, soit 148 milliards de FCFA.
L'Etat du Sénégal a également signé avec Alstom un autre contrat pour la fourniture de 15 trains à moteurs à la fois diesel et électriques, a ajouté ce groupe ferroviaire français sans préciser le montant de ce contrat.
Les trains devant être fournis par Alstom circuleront sur la ligne qui reliera à terme, à une vitesse de pointe de 160 km/heure, le centre de Dakar au nouvel aéroport international Blaise Diagne de Diass, selon Engie, qui a précisé que les TER vont desservir 14 stations en 45 minutes.
L'aéroport Blaise Diagne de Diass, situé à une cinquantaine de kilomètres de Dakar, doit entrer en service en décembre 2017, ont indiqué les autorités sénégalaises. (AFP)
Ce Train express régional (TER) vise à désengorger Dakar, une agglomération de quelque 3 millions d'habitants - près du quart de la population globale - confrontée à des problèmes de circulation en raison d'embouteillages au quotidien.
La construction du TER s'inscrit, selon les autorités sénégalaises, dans le cadre du Plan Sénégal Emergent, un plan de développement lancé par le président Macky Sall en 2014 pour faire du Sénégal un pays émergent à l'horizon 2035.
« Aujourd'hui, notre pays franchit en vitesse une étape significative de sa marche résolue vers l'émergence », a déclaré le président sénégalais qui a donné rendez-vous le lundi 14 janvier 2019 pour l'inauguration du TER.
Le groupe énergétique français Engie a déclaré dans un communiqué qu'il allait conduire et piloter, en partenariat avec (le groupe français) Thales, le marché de conception et réalisation des systèmes ferroviaires du TER de Dakar.
De même source, le montant du contrat signé avec l'Etat du Sénégal pour la construction de ces systèmes est de 225 millions d'euros, soit 148 milliards de FCFA.
L'Etat du Sénégal a également signé avec Alstom un autre contrat pour la fourniture de 15 trains à moteurs à la fois diesel et électriques, a ajouté ce groupe ferroviaire français sans préciser le montant de ce contrat.
Les trains devant être fournis par Alstom circuleront sur la ligne qui reliera à terme, à une vitesse de pointe de 160 km/heure, le centre de Dakar au nouvel aéroport international Blaise Diagne de Diass, selon Engie, qui a précisé que les TER vont desservir 14 stations en 45 minutes.
L'aéroport Blaise Diagne de Diass, situé à une cinquantaine de kilomètres de Dakar, doit entrer en service en décembre 2017, ont indiqué les autorités sénégalaises. (AFP)