Le président russe Vladimir Poutine a demandé vendredi à Emmanuel Macron et Angela Merkel de faire pression sur leur homologue ukrainien, avec lequel ils doivent s’entretenir dans l’après-midi, pour cesser les «provocations» de Kiev dans l’est du pays.
Volodymyr Zelensky, accueilli à la mi-journée par son homologue français à l’Élysée avant une trilatérale en visioconférence avec la chancelière allemande, réclame de son côté un soutien accru des Européens face à la concentration de troupes russes aux frontières de l’Ukraine.
«Il serait très important pour nous que Macron et Merkel utilisent leur influence lors de cette visioconférence avec Volodymyr Zelensky pour lui expliquer la possibilité d’une cessation définitive de toutes provocations» sur le front, a affirmé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
«Bien sûr, cela (cet entretien) serait une bonne occasion de rappeler la nécessité d’appliquer les accords de Minsk», a-t-il poursuivi, en référence au texte de 2015 qui a permis de réduire drastiquement les combats dans cette zone.
Heurts se multiplient
Depuis plusieurs semaines, les heurts se sont multipliés toutefois entre Kiev et les séparatistes prorusses du Donbass (est de l’Ukraine), tandis que des dizaines de milliers de soldats russes ont été déployés à proximité, laissant craindre une opération militaire d’ampleur.
Les Occidentaux ont mis en garde la Russie contre ces démonstrations de force et Volodymyr Zelensky doit rencontrer vendredi à Paris Emmanuel Macron. Angela Merkel participera, elle, à ces discussions par visioconférence.
Vendredi, le porte-parole du Kremlin a également affirmé qu’il y avait «de moins en moins» de signalements de violations du cessez-le-feu sur le front ukrainien, mais que ce n’était pas «une raison pour être complètement rassuré». (ATS)
Volodymyr Zelensky, accueilli à la mi-journée par son homologue français à l’Élysée avant une trilatérale en visioconférence avec la chancelière allemande, réclame de son côté un soutien accru des Européens face à la concentration de troupes russes aux frontières de l’Ukraine.
«Il serait très important pour nous que Macron et Merkel utilisent leur influence lors de cette visioconférence avec Volodymyr Zelensky pour lui expliquer la possibilité d’une cessation définitive de toutes provocations» sur le front, a affirmé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
«Bien sûr, cela (cet entretien) serait une bonne occasion de rappeler la nécessité d’appliquer les accords de Minsk», a-t-il poursuivi, en référence au texte de 2015 qui a permis de réduire drastiquement les combats dans cette zone.
Heurts se multiplient
Depuis plusieurs semaines, les heurts se sont multipliés toutefois entre Kiev et les séparatistes prorusses du Donbass (est de l’Ukraine), tandis que des dizaines de milliers de soldats russes ont été déployés à proximité, laissant craindre une opération militaire d’ampleur.
Les Occidentaux ont mis en garde la Russie contre ces démonstrations de force et Volodymyr Zelensky doit rencontrer vendredi à Paris Emmanuel Macron. Angela Merkel participera, elle, à ces discussions par visioconférence.
Vendredi, le porte-parole du Kremlin a également affirmé qu’il y avait «de moins en moins» de signalements de violations du cessez-le-feu sur le front ukrainien, mais que ce n’était pas «une raison pour être complètement rassuré». (ATS)