La police ougandaise a annoncé jeudi avoir arrêté quatre suspects et tué un cinquième dans l’enquête sur une tentative d’assassinat contre un ministre et ancien chef de l’armée le mois dernier, qu’elle a imputée à une « cellule terroriste ».
La police ougandaise a annoncé jeudi avoir arrêté quatre suspects et tué un cinquième dans l’enquête sur une tentative d’assassinat contre un ministre et ancien chef de l’armée le mois dernier, qu’elle a imputée à une « cellule terroriste ».
Le général Edward Katumba Wamala, ministre des Transports et ancien chef de l’armée, avait été blessé par balles le 1er juin au nord de Kampala par des motards masqués qui avaient attaqué son véhicule, tuant sa fille et un de ses gardes du corps.
La police a qualifié dans un communiqué jeudi de « percée majeure » dans l’enquête l’arrestation de quatre suspects. Ils s’étaient entraînés avec les Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe rebelle musulman opposé au président Yoweri Museveni qui s’est implanté depuis 1995 dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) voisine et avaient « commencé à réactiver des cellules terroristes locales » en Ouganda, selon le texte.
Le cerveau présumé de la tentative d’assassinat a été abattu alors qu’il résistait à son arrestation, a affirmé la police, ajoutant que les cellules étaient coordonnées par un ancien milicien des ADF en cavale.
Les quatre suspects arrêtés sont liés à un des assaillants présumés et à un herboriste traditionnel, tous deux inculpés la semaine dernière et placés en détention jusqu’au mois d’août, selon la même source.
Le mode opératoire de l’attaque rappelle une série d’attentats visant ces dernières années des personnalités ougandaises dont les meurtres n’ont jamais été élucidés.
Le président Museveni a promis de traquer les agresseurs du général Wamala, les traitant de « porcs qui ne connaissent pas la valeur de la vie ».
Les ADF, considérés comme le plus meurtrier des 122 groupes armés recensés dans l’Est de la RDC, ont été placés en mars par les Etats-Unis sur leur liste des « groupes terroristes » affiliés à l’organisation Etat islamique (EI). (AFP)
La police ougandaise a annoncé jeudi avoir arrêté quatre suspects et tué un cinquième dans l’enquête sur une tentative d’assassinat contre un ministre et ancien chef de l’armée le mois dernier, qu’elle a imputée à une « cellule terroriste ».
Le général Edward Katumba Wamala, ministre des Transports et ancien chef de l’armée, avait été blessé par balles le 1er juin au nord de Kampala par des motards masqués qui avaient attaqué son véhicule, tuant sa fille et un de ses gardes du corps.
La police a qualifié dans un communiqué jeudi de « percée majeure » dans l’enquête l’arrestation de quatre suspects. Ils s’étaient entraînés avec les Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe rebelle musulman opposé au président Yoweri Museveni qui s’est implanté depuis 1995 dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) voisine et avaient « commencé à réactiver des cellules terroristes locales » en Ouganda, selon le texte.
Le cerveau présumé de la tentative d’assassinat a été abattu alors qu’il résistait à son arrestation, a affirmé la police, ajoutant que les cellules étaient coordonnées par un ancien milicien des ADF en cavale.
Les quatre suspects arrêtés sont liés à un des assaillants présumés et à un herboriste traditionnel, tous deux inculpés la semaine dernière et placés en détention jusqu’au mois d’août, selon la même source.
Le mode opératoire de l’attaque rappelle une série d’attentats visant ces dernières années des personnalités ougandaises dont les meurtres n’ont jamais été élucidés.
Le président Museveni a promis de traquer les agresseurs du général Wamala, les traitant de « porcs qui ne connaissent pas la valeur de la vie ».
Les ADF, considérés comme le plus meurtrier des 122 groupes armés recensés dans l’Est de la RDC, ont été placés en mars par les Etats-Unis sur leur liste des « groupes terroristes » affiliés à l’organisation Etat islamique (EI). (AFP)