Environ 72 heures après avoir annoncé sa démission de Timis Corp Sénégal (ou Petro-Tim Sénégal ?), Aliou Sall en a expliqué pourquoi à nos confrères de Jeune Afrique.
« Je l’ai fait pour faire taire ceux qui, dans ma propre famille politique (l’Alliance pour la république, le parti fondé par Macky Sall), considère que mes activités au Sénégal sont préjudiciables au président de la république », a-t-il indiqué sur le site de JA.
Il semble néanmoins que le frère cadet du chef de l’Etat sénégalais ait été contraint de s’incliner. « Si ça n’avait dépendu que de moi, dit-il, je n’aurais pas bougé d’un iota car les accusations portées contre moi sont sans fondement. »
En ce qui concerne ses activités réelles dans le groupe, il s’épanche modérément : « je coordonnais les activités dans ces pays (Gambie, Burkina, Côte d’Ivoire), essentiellement en menant des négociations avec les ministères et administrations concernés, plus ponctuellement avec des privés. »
En dépit de sa démission, Aliou Sall n’entend pas rompre les liens avec Frank Timis. « Il est question d’élargir ce travail aux activités continentales du groupe, et plus seulement à l’Afrique occidentale, en apportant ma contribution, notamment à l’identification de nouveaux projets. »
« Je l’ai fait pour faire taire ceux qui, dans ma propre famille politique (l’Alliance pour la république, le parti fondé par Macky Sall), considère que mes activités au Sénégal sont préjudiciables au président de la république », a-t-il indiqué sur le site de JA.
Il semble néanmoins que le frère cadet du chef de l’Etat sénégalais ait été contraint de s’incliner. « Si ça n’avait dépendu que de moi, dit-il, je n’aurais pas bougé d’un iota car les accusations portées contre moi sont sans fondement. »
En ce qui concerne ses activités réelles dans le groupe, il s’épanche modérément : « je coordonnais les activités dans ces pays (Gambie, Burkina, Côte d’Ivoire), essentiellement en menant des négociations avec les ministères et administrations concernés, plus ponctuellement avec des privés. »
En dépit de sa démission, Aliou Sall n’entend pas rompre les liens avec Frank Timis. « Il est question d’élargir ce travail aux activités continentales du groupe, et plus seulement à l’Afrique occidentale, en apportant ma contribution, notamment à l’identification de nouveaux projets. »