Nations unies (Etats-Unis) - Le président américain Donald Trump a félicité son "ami" Recep Tayyip Erdogan lors d'une rencontre jeudi en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, estimant que le président turc méritait de "bonnes notes".
M. Erdogan "est devenu mon ami", s'est félicité M. Trump avant la rencontre. "Il gouverne une partie du monde très difficile. Franchement, il mérite de bonnes notes", a ajouté le président américain.
Ankara et Washington entretiennent des relations difficiles, notamment en raison du soutien apporté par les Etats-Unis aux FDS en Syrie. Cette force, en pointe dans l'offensive contre Raqqa, est dominée par les Kurdes du PYD, que la Turquie considère comme une organisation terroriste.
La Turquie a également demandé à plusieurs reprises, et sans succès, l'extradition de Fethullah Gülen, prédicateur installé en Pennsylvanie et à qui Ankara impute le putsch manqué de juillet 2016.
Mi-mai à Washington, des gardes du corps du président turc s'en étaient pris à des manifestants kurdes devant l'ambassade de Turquie, faisant 12 blessés et contribuant à tendre les relations entre les deux pays. L'incident a également entraîné cette semaine le gel par le gouvernement américain des ventes d'armes au service de protection du président turc.
Aucun incident de cette ampleur n'a eu lieu pendant l'Assemblée générale de l'ONU cette semaine, mais quelques manifestants ont néanmoins perturbé jeudi une intervention du président turc dans un hôtel de Manhattan.
Selon une porte-parole du Marriott Marquis, quatre ou cinq personnes s'en sont pris verbalement à M. Erdogan avant d'être chassés de l'hôtel par le personnel de sécurité et des policiers.
Des images filmées par une personne qui assistait à cette conférence et relayées par plusieurs médias américains montrent quelqu'un tentant d'interrompre le président Erdogan lors de son allocution.
Immédiatement, des membres du service de sécurité se saisissent de plusieurs personnes et les évacuent sans ménagement, selon ces images.
Selon la police new-yorkaise et les Services secrets américains, l'incident n'a donné lieu à aucune interpellation.
L'association turco-américaine qui organisait l'événement a affirmé sur son site que les manifestants étaient des partisans des milices kurdes syriennes des YPG, branche armée du PYD, la principale formation politique kurde de Syrie, sans dire d'où elle tenait cette information.
M. Erdogan "est devenu mon ami", s'est félicité M. Trump avant la rencontre. "Il gouverne une partie du monde très difficile. Franchement, il mérite de bonnes notes", a ajouté le président américain.
Ankara et Washington entretiennent des relations difficiles, notamment en raison du soutien apporté par les Etats-Unis aux FDS en Syrie. Cette force, en pointe dans l'offensive contre Raqqa, est dominée par les Kurdes du PYD, que la Turquie considère comme une organisation terroriste.
La Turquie a également demandé à plusieurs reprises, et sans succès, l'extradition de Fethullah Gülen, prédicateur installé en Pennsylvanie et à qui Ankara impute le putsch manqué de juillet 2016.
Mi-mai à Washington, des gardes du corps du président turc s'en étaient pris à des manifestants kurdes devant l'ambassade de Turquie, faisant 12 blessés et contribuant à tendre les relations entre les deux pays. L'incident a également entraîné cette semaine le gel par le gouvernement américain des ventes d'armes au service de protection du président turc.
Aucun incident de cette ampleur n'a eu lieu pendant l'Assemblée générale de l'ONU cette semaine, mais quelques manifestants ont néanmoins perturbé jeudi une intervention du président turc dans un hôtel de Manhattan.
Selon une porte-parole du Marriott Marquis, quatre ou cinq personnes s'en sont pris verbalement à M. Erdogan avant d'être chassés de l'hôtel par le personnel de sécurité et des policiers.
Des images filmées par une personne qui assistait à cette conférence et relayées par plusieurs médias américains montrent quelqu'un tentant d'interrompre le président Erdogan lors de son allocution.
Immédiatement, des membres du service de sécurité se saisissent de plusieurs personnes et les évacuent sans ménagement, selon ces images.
Selon la police new-yorkaise et les Services secrets américains, l'incident n'a donné lieu à aucune interpellation.
L'association turco-américaine qui organisait l'événement a affirmé sur son site que les manifestants étaient des partisans des milices kurdes syriennes des YPG, branche armée du PYD, la principale formation politique kurde de Syrie, sans dire d'où elle tenait cette information.