PARIS (Reuters) - Le camp français de Barkhane à Gao, dans l'est du Mali, a été la cible lundi d'une attaque au véhicule piégé, qui a fait trois blessés parmi les militaires français et estoniens présents, a-t-on appris auprès de l'état-major des armées françaises.
"A 15h45 heure locale, un VBIED (véhicule piégé-NDLR) a attaqué l'entrée de la partie française du camp de Gao mais il n'y a pas eu d'intrusion", a dit à Reuters le colonel Frédéric Barbry, porte-parole de l'état-major.
"Trois militaires français et estoniens ont été blessés et pris en charge, leur pronostic vital n'est pas engagé", a-t-il ajouté, sans pouvoir livrer à ce stade plus de détails sur les circonstances de l'attaque. Le camp de Gao abrite un contingent estonien et des soldats de la mission des Nations unies au Mali (Minusma).
Le 1er juillet 2018, une patrouille conjointe de soldats français et maliens avait été prise pour cible dans les rues de Gao. L'attaque avait fait quatre morts parmi la population civile et plusieurs dizaines de blessés, dont quatre militaires de Barkhane, l'opération menée depuis 2014 par l'armée française contre les groupes armés djihadistes dans la région.
"A 15h45 heure locale, un VBIED (véhicule piégé-NDLR) a attaqué l'entrée de la partie française du camp de Gao mais il n'y a pas eu d'intrusion", a dit à Reuters le colonel Frédéric Barbry, porte-parole de l'état-major.
"Trois militaires français et estoniens ont été blessés et pris en charge, leur pronostic vital n'est pas engagé", a-t-il ajouté, sans pouvoir livrer à ce stade plus de détails sur les circonstances de l'attaque. Le camp de Gao abrite un contingent estonien et des soldats de la mission des Nations unies au Mali (Minusma).
Le 1er juillet 2018, une patrouille conjointe de soldats français et maliens avait été prise pour cible dans les rues de Gao. L'attaque avait fait quatre morts parmi la population civile et plusieurs dizaines de blessés, dont quatre militaires de Barkhane, l'opération menée depuis 2014 par l'armée française contre les groupes armés djihadistes dans la région.