PARIS (Reuters) - La France insoumise va organiser le 12 juillet une journée de "mobilisation populaire" sur l'ensemble du territoire afin de marquer son opposition au gouvernement, a annoncé mercredi Jean-Luc Mélenchon, président du groupe LFI à l'Assemblée.
"Je demande à mes amis partout dans le pays d'organiser des rassemblements le 12 juillet, de le proposer aux autres", a déclaré le député de Marseille sur BFM TV et RMC, précisant qu'il serait de son côté Place de la République à Paris.
Les députés de La France insoumise ont tous voté mardi contre la confiance au gouvernement d'Edouard Philippe.
Ils s'opposent, notamment, à la réforme du Code du Travail dont le projet de loi d'habilitation, présenté en conseil des ministres mercredi dernier, doit être voté avant la fin de l'été.
Jean-Luc Mélenchon a annoncé "une bataille populaire" contre ce qu'il qualifie de "coup de force" social.
"Nous prenons notre part. Les syndicats ont la leur, ils décideront ce qu'ils veulent", a-t-il ajouté.
La CGT a déjà annoncé une journée de mobilisation le 12 septembre.
"Jamais rien n'est plié d'avance quand les salariés interviennent", a insisté mercredi Philippe Martinez, secrétaire général de la centrale de Montreuil, sur RTL.
"Je demande à mes amis partout dans le pays d'organiser des rassemblements le 12 juillet, de le proposer aux autres", a déclaré le député de Marseille sur BFM TV et RMC, précisant qu'il serait de son côté Place de la République à Paris.
Les députés de La France insoumise ont tous voté mardi contre la confiance au gouvernement d'Edouard Philippe.
Ils s'opposent, notamment, à la réforme du Code du Travail dont le projet de loi d'habilitation, présenté en conseil des ministres mercredi dernier, doit être voté avant la fin de l'été.
Jean-Luc Mélenchon a annoncé "une bataille populaire" contre ce qu'il qualifie de "coup de force" social.
"Nous prenons notre part. Les syndicats ont la leur, ils décideront ce qu'ils veulent", a-t-il ajouté.
La CGT a déjà annoncé une journée de mobilisation le 12 septembre.
"Jamais rien n'est plié d'avance quand les salariés interviennent", a insisté mercredi Philippe Martinez, secrétaire général de la centrale de Montreuil, sur RTL.