Les proches de l’ex président sud-africain Jacob Zuma ont lancé mardi une campagne publique d’appel aux dons pour couvrir ses frais de justice.
« Nous demandons humblement le soutien de dons pour aider à couvrir les frais de justice de notre chef », indique une affiche tweetée par la Fondation Jacob Zuma, accompagnée de coordonnées bancaires et d’une photo du président parlant dans un micro, poing en l’air.
« Cher peuple d’Afrique du Sud et du monde entier, s’il vous plaît, tendez une main secourable », peut-on lire dans le tweet qui accompagne le message.
Jacob Zuma, 79 ans, se débat dans une vieille affaire de corruption liée à un contrat d’armement signé il y a plus de vingt ans, alors qu’il était vice-président.
Le procès a débuté en mai après de nombreux reports et retards, et la prochaine comparution de Jacob Zuma devant le tribunal a été repoussée au 9 septembre.
En décembre 2018, un tribunal sud-africain l’avait intimé de rembourser à l’État plus d’un million de dollars indûment dépensés pour ses frais de justice. Selon la présidence, les frais de justice de M. Zuma auraient coûté au moins 1,1 million de dollars (938 000 euros) à l’État.
L’ex-président, qui a également été condamné à rembourser 20 millions de dollars de fonds publics dépensés pour sa résidence privée, avait déclaré en 2019 qu’il avait dû vendre ses chapeaux et ses chaussettes pour payer ses frais d’avocat.
Il purge actuellement une peine de 15 mois d’emprisonnement pour outrage à la justice après avoir refusé de comparaître devant une commission d’enquête sur la corruption.
« Nous demandons humblement le soutien de dons pour aider à couvrir les frais de justice de notre chef », indique une affiche tweetée par la Fondation Jacob Zuma, accompagnée de coordonnées bancaires et d’une photo du président parlant dans un micro, poing en l’air.
« Cher peuple d’Afrique du Sud et du monde entier, s’il vous plaît, tendez une main secourable », peut-on lire dans le tweet qui accompagne le message.
Jacob Zuma, 79 ans, se débat dans une vieille affaire de corruption liée à un contrat d’armement signé il y a plus de vingt ans, alors qu’il était vice-président.
Le procès a débuté en mai après de nombreux reports et retards, et la prochaine comparution de Jacob Zuma devant le tribunal a été repoussée au 9 septembre.
En décembre 2018, un tribunal sud-africain l’avait intimé de rembourser à l’État plus d’un million de dollars indûment dépensés pour ses frais de justice. Selon la présidence, les frais de justice de M. Zuma auraient coûté au moins 1,1 million de dollars (938 000 euros) à l’État.
L’ex-président, qui a également été condamné à rembourser 20 millions de dollars de fonds publics dépensés pour sa résidence privée, avait déclaré en 2019 qu’il avait dû vendre ses chapeaux et ses chaussettes pour payer ses frais d’avocat.
Il purge actuellement une peine de 15 mois d’emprisonnement pour outrage à la justice après avoir refusé de comparaître devant une commission d’enquête sur la corruption.