150 délégués d’organisations de la société civile, venus d’une dizaine de pays de la Cédéao, ont organisé à Cotonou un sommet citoyen sur la bonne gouvernance, la démocratie et l’alternance dans la sous-région. À l’initiative, l’association Togo debout, tandis que le mouvement citoyen international « Tournons la page » était de la partie.
Au terme de leurs travaux, ce dimanche 11 juillet, une déclaration, baptisée la déclaration de Cotonou, a été lue. Elle pose comme principe intangible la limitation à deux mandats présidentiels. Les débats pour l’essentiel ont tourné autour de la limitation des mandats présidentiels, pas souvent respectés.
Marc ONA, le Président de l'ONG Tournons la Page, s'agace du non-respect de la limitation des mandats présidentiels. Il a établi sa petite carte des mauvais élèves : « Le Togo, le Gabon, la Côte d’Ivoire, la Guinée ont fait de "l’éternisation" au pouvoir un système de gouvernance. Nous espérons que le Sénégal ne va pas leur emboîter le pas. » « Le protocole de la Cédéao est clair : pas de troisième mandat, rappelle-t-il. Il faut que la CEDEAO se fasse violence en imposant cette exigence à tous les chefs d’État de la sous-région. » (RFI)
Au terme de leurs travaux, ce dimanche 11 juillet, une déclaration, baptisée la déclaration de Cotonou, a été lue. Elle pose comme principe intangible la limitation à deux mandats présidentiels. Les débats pour l’essentiel ont tourné autour de la limitation des mandats présidentiels, pas souvent respectés.
Marc ONA, le Président de l'ONG Tournons la Page, s'agace du non-respect de la limitation des mandats présidentiels. Il a établi sa petite carte des mauvais élèves : « Le Togo, le Gabon, la Côte d’Ivoire, la Guinée ont fait de "l’éternisation" au pouvoir un système de gouvernance. Nous espérons que le Sénégal ne va pas leur emboîter le pas. » « Le protocole de la Cédéao est clair : pas de troisième mandat, rappelle-t-il. Il faut que la CEDEAO se fasse violence en imposant cette exigence à tous les chefs d’État de la sous-région. » (RFI)