La présidente de la Conférence des ministres africains en charge de l’environnement (AMCEN), Barbara Creecy, a souligné dimanche à Madrid (Espagne) la nécessité pour l’Afrique de parler d’une seule voix en vue d’intégrer son dispositif de secours et de riposte face aux effets climatiques.
"Nous avons tout à perdre, c’est pourquoi, il est essentiel de parler d’une voix unique pour que nous puissions défendre nos intérêts’’, a-t-elle insisté devant plusieurs délégations ministérielles dont celle du Sénégal, dans le cadre de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (CNUCC), COP 25, ouverte depuis lundi, dans la capitale espagnole.
Elle a en outre demandé aux négociateurs de faire en sorte que les Contributions déterminées nationales (CDN) ne soient pas "lourdes". "Notre besoin est de faire en sorte que la relation adaptation/atténuation soit équitable", a souhaité Barbara Creecy.
Revenant sur les éléments clés de négociations de la COP 25, elle a réitéré l’engagement des pays africains d’avoir un accès durable aux ressources et de voir les pertes et préjudices pris en compte.
Ces points sont la relation adaptation/atténuation, les pertes et dommages, le marché à carbone, le financement et le transfert de technologies, a dit Mme Creecy, par ailleurs, ministre de l’Environnement, des Forêts et des Pêches, en Afrique du Sud.
"Nous sommes conscients des intérêts de l’Afrique", a ajouté la présidente de l’AMCEN, relevant l’apport des décideurs politiques pour faire avancer les intérêts du continent. (APS)
"Nous avons tout à perdre, c’est pourquoi, il est essentiel de parler d’une voix unique pour que nous puissions défendre nos intérêts’’, a-t-elle insisté devant plusieurs délégations ministérielles dont celle du Sénégal, dans le cadre de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (CNUCC), COP 25, ouverte depuis lundi, dans la capitale espagnole.
Elle a en outre demandé aux négociateurs de faire en sorte que les Contributions déterminées nationales (CDN) ne soient pas "lourdes". "Notre besoin est de faire en sorte que la relation adaptation/atténuation soit équitable", a souhaité Barbara Creecy.
Revenant sur les éléments clés de négociations de la COP 25, elle a réitéré l’engagement des pays africains d’avoir un accès durable aux ressources et de voir les pertes et préjudices pris en compte.
Ces points sont la relation adaptation/atténuation, les pertes et dommages, le marché à carbone, le financement et le transfert de technologies, a dit Mme Creecy, par ailleurs, ministre de l’Environnement, des Forêts et des Pêches, en Afrique du Sud.
"Nous sommes conscients des intérêts de l’Afrique", a ajouté la présidente de l’AMCEN, relevant l’apport des décideurs politiques pour faire avancer les intérêts du continent. (APS)