PARIS (Reuters) - Emmanuel Macron a souligné son attachement à l‘unité de l‘Espagne lors d‘un entretien téléphonique lundi avec le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, au lendemain d‘un référendum non autorisé sur l‘indépendance de la Catalogne marqué par des violences.
Près de 900 personnes ont été blessées pendant la consultation dans des heurts avec les forces de l‘ordre, selon le gouvernement catalan. Le président de l‘exécutif catalan a réclamé lundi une médiation internationale.
“Le président de la République a souligné son attachement à l’unité constitutionnelle de l’Espagne et confirmé (...) qu’il n’avait qu’un seul interlocuteur en la personne de M. Rajoy”, le président du gouvernement espagnol, a déclaré la présidence française.
La porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a pour sa part déclaré : “La France est attachée à l’unité et à l’intégrité de l’Espagne, pays ami dont la voix est essentielle sur la scène européenne”.
“Nous avons pris note des différentes déclarations intervenues le 1er octobre, et notamment de la proposition du président du gouvernement espagnol d’engager une réflexion commune avec l’ensemble des forces politiques représentées au parlement”, a-t-elle ajouté.
“Nous avons pleinement confiance dans la capacité de la démocratie espagnole à conduire un dialogue politique apaisé, dans le cadre de la légalité constitutionnelle”, a poursuivi la porte-parole, Agnès Romatet-Espagne.
Près de 900 personnes ont été blessées pendant la consultation dans des heurts avec les forces de l‘ordre, selon le gouvernement catalan. Le président de l‘exécutif catalan a réclamé lundi une médiation internationale.
“Le président de la République a souligné son attachement à l’unité constitutionnelle de l’Espagne et confirmé (...) qu’il n’avait qu’un seul interlocuteur en la personne de M. Rajoy”, le président du gouvernement espagnol, a déclaré la présidence française.
La porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a pour sa part déclaré : “La France est attachée à l’unité et à l’intégrité de l’Espagne, pays ami dont la voix est essentielle sur la scène européenne”.
“Nous avons pris note des différentes déclarations intervenues le 1er octobre, et notamment de la proposition du président du gouvernement espagnol d’engager une réflexion commune avec l’ensemble des forces politiques représentées au parlement”, a-t-elle ajouté.
“Nous avons pleinement confiance dans la capacité de la démocratie espagnole à conduire un dialogue politique apaisé, dans le cadre de la légalité constitutionnelle”, a poursuivi la porte-parole, Agnès Romatet-Espagne.