Emmanuel Macron a jugé, mercredi 17 février au cours d’une visioconférence avec des dirigeants africains, «inexplicable et intolérable» la lenteur du démarrage de la campagne de vaccination contre le Covid-19 en Afrique, victime de l’inégalité «entre pays pauvres et riches dans l’accès aux vaccins».
«Nous devons répondre à cette inégalité criante», a déclaré le président français en s’entretenant avec ses homologues Abdel Fattah al-Sissi (Egypte), Macky Sall (Sénégal), Cyril Ramaphosa (Afrique du Sud), Félix Tshisekedi (RDC) et Azali Assoumani (Comores), ainsi qu’avec le président de la Commission de l’Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, et John Nkengasong, le directeur du Centre de contrôle et de prévention des maladies de l’UA (CDC-Afrique).
Cette réunion visait « à identifier les axes d’effort prioritaires » des pays africains afin de « porter leurs voix » à la visioconférence, vendredi, des dirigeants du G7, qui sera consacrée en partie à la crise sanitaire, a précisé l’Elysée. (Le Monde avec AFP)
«Nous devons répondre à cette inégalité criante», a déclaré le président français en s’entretenant avec ses homologues Abdel Fattah al-Sissi (Egypte), Macky Sall (Sénégal), Cyril Ramaphosa (Afrique du Sud), Félix Tshisekedi (RDC) et Azali Assoumani (Comores), ainsi qu’avec le président de la Commission de l’Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, et John Nkengasong, le directeur du Centre de contrôle et de prévention des maladies de l’UA (CDC-Afrique).
Cette réunion visait « à identifier les axes d’effort prioritaires » des pays africains afin de « porter leurs voix » à la visioconférence, vendredi, des dirigeants du G7, qui sera consacrée en partie à la crise sanitaire, a précisé l’Elysée. (Le Monde avec AFP)