L’agence européenne de contrôle des frontières Frontex a annoncé dimanche avoir déployé des renforts et relevé son niveau d’alerte à la frontière gréco-turque, où des milliers de migrants tentent d’entrer dans l’UE.
« Nous (...) avons remonté le niveau d’alerte pour toutes les frontières avec la Turquie à élevé », a déclaré une porte-parole de Frontex dans un communiqué diffusé à Bruxelles.
« Nous avons reçu une demande d’aide supplémentaire de la Grèce. Nous avons déjà pris des mesures pour redéployer de l’équipement technique et des agents supplémentaires en Grèce », a-t-il ajouté.
La Turquie a ouvert ses frontières avec l’Europe, vers la Grèce et la Bulgarie, laissant libre passage à des milliers de réfugiés et de migrants.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré avoir « ouvert les portes » pour les migrants après la mort de dizaines de ses soldats dans des bombardements aériens du régime du président syrien Bachar al-Assad dans le nord de la Syrie.
Il fait ainsi pression sur l’UE et les membres de l’Otan afin d’obtenir leur soutien dans ses opérations militaires en Syrie.
Frontex explique dans son communiqué suivre de près la situation sur les frontières grecques et bulgares avec la Turquie. « Nous examinons d’autres moyens de soutenir les pays de l’UE frontaliers avec la Turquie », selon l’agence.
« Nous sommes en étroit contact avec les autorités grecques à propos du soutien supplémentaire que nous pourrions fournir dans cette situation qui évolue rapidement ».
Frontex a précisé suivre également la situation à Chypre, un membre de l’UE dont la partie nord est contrôlée par la Turquie mais qui n’est pas reconnue par quiconque sauf Ankara.
L’agence a expliqué être en train de renforcer en personnel ses opérations en Grèce et en Bulgarie.
Sa plus grosse opération est actuellement en cours dans les îles grecques, avec 400 personnes sur le terrain, tandis qu’un petit groupe d’agents se trouve dans la région grecque d’Evros, à la frontière turque. 60 agents sont également déployés en Bulgarie, selon Frontex. (AFP)
« Nous (...) avons remonté le niveau d’alerte pour toutes les frontières avec la Turquie à élevé », a déclaré une porte-parole de Frontex dans un communiqué diffusé à Bruxelles.
« Nous avons reçu une demande d’aide supplémentaire de la Grèce. Nous avons déjà pris des mesures pour redéployer de l’équipement technique et des agents supplémentaires en Grèce », a-t-il ajouté.
La Turquie a ouvert ses frontières avec l’Europe, vers la Grèce et la Bulgarie, laissant libre passage à des milliers de réfugiés et de migrants.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré avoir « ouvert les portes » pour les migrants après la mort de dizaines de ses soldats dans des bombardements aériens du régime du président syrien Bachar al-Assad dans le nord de la Syrie.
Il fait ainsi pression sur l’UE et les membres de l’Otan afin d’obtenir leur soutien dans ses opérations militaires en Syrie.
Frontex explique dans son communiqué suivre de près la situation sur les frontières grecques et bulgares avec la Turquie. « Nous examinons d’autres moyens de soutenir les pays de l’UE frontaliers avec la Turquie », selon l’agence.
« Nous sommes en étroit contact avec les autorités grecques à propos du soutien supplémentaire que nous pourrions fournir dans cette situation qui évolue rapidement ».
Frontex a précisé suivre également la situation à Chypre, un membre de l’UE dont la partie nord est contrôlée par la Turquie mais qui n’est pas reconnue par quiconque sauf Ankara.
L’agence a expliqué être en train de renforcer en personnel ses opérations en Grèce et en Bulgarie.
Sa plus grosse opération est actuellement en cours dans les îles grecques, avec 400 personnes sur le terrain, tandis qu’un petit groupe d’agents se trouve dans la région grecque d’Evros, à la frontière turque. 60 agents sont également déployés en Bulgarie, selon Frontex. (AFP)