BAMAKO (Reuters) – En cas d’intervention militaire de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) en Gambie, c’est le Sénégal qui aura la charge de diriger les opérations selon un mandat qui sera arrêté par les chefs d’Etat. C’est ce qu’a affirmé à Bamako Marcel de Souza, le président de la Commission de la Cédéao.
D’ores et déjà, des forces militaires ont été placées "en état d'alerte" au cas où le président gambien Yahjà, ya Jammeh refuserait de quitter le pouvoir à la fin de son mandat le 19 janvier, a ajouté de Souza.
La Cédéao a prévenu qu'elle prendrait "toutes les mesures nécessaires" si le président gambien, arrivé au pouvoir en 1994 à la suite d'un coup d'Etat, refuse de reconnaître le verdict des urnes.
Les dirigeants régionaux proposent à Yahya Jammeh une "porte de sortie honorable" mais s'il ne l'emprunte pas, des forces seront déployées pour le faire partir, a déclaré Marcel de Souza pendant une visite au Mali. (Impact avec Reuters)
D’ores et déjà, des forces militaires ont été placées "en état d'alerte" au cas où le président gambien Yahjà, ya Jammeh refuserait de quitter le pouvoir à la fin de son mandat le 19 janvier, a ajouté de Souza.
La Cédéao a prévenu qu'elle prendrait "toutes les mesures nécessaires" si le président gambien, arrivé au pouvoir en 1994 à la suite d'un coup d'Etat, refuse de reconnaître le verdict des urnes.
Les dirigeants régionaux proposent à Yahya Jammeh une "porte de sortie honorable" mais s'il ne l'emprunte pas, des forces seront déployées pour le faire partir, a déclaré Marcel de Souza pendant une visite au Mali. (Impact avec Reuters)