Douze "terroristes" condamnés à mort ont été exécutés jeudi sur ordre du Premier ministre Haider al-Abadi, a indiqué vendredi un communiqué officiel de la primature, sans préciser leur nationalité.
M. Abadi avait ordonné jeudi l'exécution "immédiate" des centaines de jihadistes condamnés à mort, dont des femmes et des étrangers.
"Sur ordre du Premier ministre Haider al-Abadi, 12 terroristes condamnés à mort, dont les jugements ont acquis un degré décisif, ont été exécutés jeudi", ce qui signifie que leur appel a été rejeté et que la peine capitale a été ratifiée par la présidence, selon le communiqué.
Ces exécutions, en général par pendaison pour ceux condamnés pour "terrorisme", interviennent deux jours après la découverte des corps de huit Irakiens enlevés par le groupe État islamique (EI), qui avait diffusé une vidéo d'hommes au visage tuméfié en annonçant leur mort prochaine si des femmes jihadistes n'étaient pas libérées par Bagdad.
Plus de 300 personnes, dont une centaine d'étrangères, ont été condamnées à mort en Irak, et autant d'autres à la prison à perpétuité, pour appartenance à l'EI, avait-on indiqué en avril de source judiciaire. (AFP)
M. Abadi avait ordonné jeudi l'exécution "immédiate" des centaines de jihadistes condamnés à mort, dont des femmes et des étrangers.
"Sur ordre du Premier ministre Haider al-Abadi, 12 terroristes condamnés à mort, dont les jugements ont acquis un degré décisif, ont été exécutés jeudi", ce qui signifie que leur appel a été rejeté et que la peine capitale a été ratifiée par la présidence, selon le communiqué.
Ces exécutions, en général par pendaison pour ceux condamnés pour "terrorisme", interviennent deux jours après la découverte des corps de huit Irakiens enlevés par le groupe État islamique (EI), qui avait diffusé une vidéo d'hommes au visage tuméfié en annonçant leur mort prochaine si des femmes jihadistes n'étaient pas libérées par Bagdad.
Plus de 300 personnes, dont une centaine d'étrangères, ont été condamnées à mort en Irak, et autant d'autres à la prison à perpétuité, pour appartenance à l'EI, avait-on indiqué en avril de source judiciaire. (AFP)