Israël a mené des attaques aériennes sur la bande de Gaza dimanche après des lancers de ballons incendiaires vers son territoire depuis l’enclave palestinienne qui ont causé des feux de brousse.
Les frappes, qui n’ont fait aucune victime, ont pris pour cible une zone non habitée dans le nord de l’enclave et un site d’entraînement du mouvement islamiste Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, à Khan Younes (sud), ont indiqué à l’AFP des sources sécuritaires palestiniennes.
Israël avait auparavant annoncé réduire de moitié la zone de pêche autorisée au large de la bande de Gaza.
« Il a été décidé de réduire la zone de pêche autorisée dans la bande de Gaza de 12 milles nautiques à 6 milles nautiques », a affirmé la branche militaire du Bureau de coordination des activités du gouvernement israélien dans les Territoires palestiniens (Cogat).
« La décision a été prise en raison des lancers de ballons incendiaires de la bande de Gaza vers Israël, qui constituent une violation de la souveraineté israélienne », selon le communiqué du Cogat.
Il a prévenu que le « Hamas, responsable des activités dans la bande de Gaza et de toutes les actions menées depuis la bande de Gaza vers l’État d’Israël, devait subir les conséquences des violences commises contre les citoyens de l’État d’Israël ».
Plus tôt dimanche, des feux de brousse ont été éteints « à trois endroits dans un petit secteur dans la région d’Eshkol », avait indiqué un communiqué des pompiers israéliens précisant qu’« un expert avait conclu que les feux avaient été provoqués par des ballons incendiaires ».
Ces ballons visent des terres agricoles autour de l’enclave palestinienne paupérisée où vivent entassés quelque deux millions d’habitants sous blocus israélien depuis 15 ans.
La zone de pêche et les importations sont utilisées par Israël pour punir ou récompenser la bande de Gaza s’agissant de la situation en matière de sécurité.
Israël avait ainsi annoncé le 12 juillet l’extension de la zone de pêche et l’élargissement des importations autorisées dans la bande de Gaza, après un « récent » retour au « calme ».
La zone de pêche autorisée avant le conflit déclenché en mai était de 15 milles nautiques, mais Israël l’a réduite pendant les hostilités.
Des incidents sporadiques – lancers de ballons incendiaires de Gaza et frappes aériennes israéliennes en représailles – ont eu lieu depuis l’entrée en vigueur d’un fragile cessez-le-feu qui a mis fin à une guerre éclair de 11 jours, du 10 au 21 mai.
Israël avait déjà riposté récemment aux lancers de ces ballons par des frappes aériennes nocturnes ciblant des positions présumées du Hamas.
La dernière fois que ces lancers de ballons de l’enclave palestinienne avaient provoqué un incendie en Israël remonte au 2 juillet. (AFP)
Les frappes, qui n’ont fait aucune victime, ont pris pour cible une zone non habitée dans le nord de l’enclave et un site d’entraînement du mouvement islamiste Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, à Khan Younes (sud), ont indiqué à l’AFP des sources sécuritaires palestiniennes.
Israël avait auparavant annoncé réduire de moitié la zone de pêche autorisée au large de la bande de Gaza.
« Il a été décidé de réduire la zone de pêche autorisée dans la bande de Gaza de 12 milles nautiques à 6 milles nautiques », a affirmé la branche militaire du Bureau de coordination des activités du gouvernement israélien dans les Territoires palestiniens (Cogat).
« La décision a été prise en raison des lancers de ballons incendiaires de la bande de Gaza vers Israël, qui constituent une violation de la souveraineté israélienne », selon le communiqué du Cogat.
Il a prévenu que le « Hamas, responsable des activités dans la bande de Gaza et de toutes les actions menées depuis la bande de Gaza vers l’État d’Israël, devait subir les conséquences des violences commises contre les citoyens de l’État d’Israël ».
Plus tôt dimanche, des feux de brousse ont été éteints « à trois endroits dans un petit secteur dans la région d’Eshkol », avait indiqué un communiqué des pompiers israéliens précisant qu’« un expert avait conclu que les feux avaient été provoqués par des ballons incendiaires ».
Ces ballons visent des terres agricoles autour de l’enclave palestinienne paupérisée où vivent entassés quelque deux millions d’habitants sous blocus israélien depuis 15 ans.
La zone de pêche et les importations sont utilisées par Israël pour punir ou récompenser la bande de Gaza s’agissant de la situation en matière de sécurité.
Israël avait ainsi annoncé le 12 juillet l’extension de la zone de pêche et l’élargissement des importations autorisées dans la bande de Gaza, après un « récent » retour au « calme ».
La zone de pêche autorisée avant le conflit déclenché en mai était de 15 milles nautiques, mais Israël l’a réduite pendant les hostilités.
Des incidents sporadiques – lancers de ballons incendiaires de Gaza et frappes aériennes israéliennes en représailles – ont eu lieu depuis l’entrée en vigueur d’un fragile cessez-le-feu qui a mis fin à une guerre éclair de 11 jours, du 10 au 21 mai.
Israël avait déjà riposté récemment aux lancers de ces ballons par des frappes aériennes nocturnes ciblant des positions présumées du Hamas.
La dernière fois que ces lancers de ballons de l’enclave palestinienne avaient provoqué un incendie en Israël remonte au 2 juillet. (AFP)