BEYROUTH (Reuters) - Le tir d'un missile américain contre une base aérienne près de la ville de Homs en Syrie a fait cinq morts et sept blessés, a déclaré le gouverneur de la province à la chaîne libanaise Al Mayadeen, précisant que le bilan avait peu de chance de s'alourdir.
Le gouverneur de Homs, Talal Barazi, a précisé à Reuters que la base visée fournissait un soutien aérien aux opérations menées par l'armée syrienne contre les djihadistes de l'Etat islamique (EI) à Palmyre. Selon lui, l'intervention américaine va servir les intérêts des "groupes armés terroristes".
"Je pense que le bilan humain n'est pas élevé mais il y a des dégâts matériels. Nous espérons qu'il n'y a pas trop de victimes et de martyrs", a-t-il ajouté.
La chaîne de télévision russe Rossiya 24 a indiqué que les frappes américaines avaient détruit neuf avions mais avaient laissé la piste d'envol relativement intacte. Il était impossible de déterminer si la chaîne montrait la totalité de la base aérienne ou seulement certaines parties de celle-ci.
Donald Trump a expliqué avoir ordonné ces frappes contre un terrain d'aviation syrien à partir duquel les Occidentaux estiment qu'a été menée une attaque chimique contre la population du village de Khan Cheikhoune dans la province d'Idlib dans le nord-ouest de la Syrie mardi.
Donald Trump a expliqué que les Etats-Unis avaient agi "dans l'intérêt de la sécurité nationale" américaine contre le président syrien Bachar al Assad.
Talal Barazi a précisé à la chaîne Al Mayadeen qu'il y avait des victimes civiles dans un village voisin de la base sans fournir d'autres précisions.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), qui documente le conflit à partir de sources sur le terrain, a annoncé que les frappes américaines avaient tué quatre soldats syriens dont un général.
"Le gouvernement syrien et la politique syrienne ne vont pas changer", a déclaré le gouverneur de Homs. "Il ne s'agit pas de la première attaque et je pense qu'il ne s'agit pas de la dernière. La guerre contre le terrorisme va continuer", a-t-il poursuivi.
Les frappes américaines "visaient des positions militaires en Syrie et à Homs en particulier" afin de "servir les intérêts du terrorisme en Syrie et les intérêts d'Israël à long terme", a ajouté Barazi.
Le gouverneur de Homs, Talal Barazi, a précisé à Reuters que la base visée fournissait un soutien aérien aux opérations menées par l'armée syrienne contre les djihadistes de l'Etat islamique (EI) à Palmyre. Selon lui, l'intervention américaine va servir les intérêts des "groupes armés terroristes".
"Je pense que le bilan humain n'est pas élevé mais il y a des dégâts matériels. Nous espérons qu'il n'y a pas trop de victimes et de martyrs", a-t-il ajouté.
La chaîne de télévision russe Rossiya 24 a indiqué que les frappes américaines avaient détruit neuf avions mais avaient laissé la piste d'envol relativement intacte. Il était impossible de déterminer si la chaîne montrait la totalité de la base aérienne ou seulement certaines parties de celle-ci.
Donald Trump a expliqué avoir ordonné ces frappes contre un terrain d'aviation syrien à partir duquel les Occidentaux estiment qu'a été menée une attaque chimique contre la population du village de Khan Cheikhoune dans la province d'Idlib dans le nord-ouest de la Syrie mardi.
Donald Trump a expliqué que les Etats-Unis avaient agi "dans l'intérêt de la sécurité nationale" américaine contre le président syrien Bachar al Assad.
Talal Barazi a précisé à la chaîne Al Mayadeen qu'il y avait des victimes civiles dans un village voisin de la base sans fournir d'autres précisions.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), qui documente le conflit à partir de sources sur le terrain, a annoncé que les frappes américaines avaient tué quatre soldats syriens dont un général.
"Le gouvernement syrien et la politique syrienne ne vont pas changer", a déclaré le gouverneur de Homs. "Il ne s'agit pas de la première attaque et je pense qu'il ne s'agit pas de la dernière. La guerre contre le terrorisme va continuer", a-t-il poursuivi.
Les frappes américaines "visaient des positions militaires en Syrie et à Homs en particulier" afin de "servir les intérêts du terrorisme en Syrie et les intérêts d'Israël à long terme", a ajouté Barazi.