La Corée du Nord a testé des missiles de croisière à longue portée et des missiles balistiques à courte portée cette semaine, a affirmé vendredi un média d’État, dans le cadre d’une série de lancements record depuis le début d’année.
La Corée du Nord a procédé cette semaine à un essai de mise à jour du système de missiles de croisière à longue portée et à un essai de confirmation de la puissance d’une ogive conventionnelle pour un missile tactique surface-surface, a déclaré l’agence officielle Korean Central News Agency (KCNA).
Selon KCNA, Pyongyang a testé mardi des missiles de croisière à longue portée qui ont survolé la mer située à l’est de la péninsule (mer du Japon, ou mer de l’Est selon l’appellation coréenne) et ont atteint «l’île cible située à 1800 km».
Jeudi, la Corée du Nord a testé des missiles balistiques à courte portée qui ont frappé une «île cible», a détaillé l’agence, «prouvant que la puissance explosive de l’ogive conventionnelle était conforme aux exigences de conception».
Six tirs en un mois
Pyongyang a procédé à un sixième tir d’essai depuis le début de l’année, dont des missiles hypersoniques, et a laissé entendre la semaine dernière qu’il pourrait reprendre ses essais nucléaires et d’armes à longue portée – mis en pause depuis un moratoire auto-imposé en 2017. Le leader Kim Jong Un a également visité une usine de munitions, selon KCNA.
Kim «a hautement apprécié l’usine qui a réalisé des innovations collectives et des progrès considérables dans la production d’armes majeures», a rapporté KCNA.
Cette série d’essais prohibés par les sanctions a suscité une condamnation mondiale et une réunion à huis clos du Conseil de sécurité des Nations unies. Les États-Unis ont également imposé de nouvelles sanctions en réponse, suscitant la colère de la Corée du Nord.
La période est délicate pour la région: la Chine, seul allié majeur du régime nord-coréen, accueille les Jeux olympiques d’hiver en février et la Corée du Sud tient une élection présidentielle en mars.
Pyongyang se prépare à célébrer le 80e anniversaire de la naissance du père de Kim, le défunt dirigeant Kim Jong Il, en février, puis le 110e anniversaire de Kim Il-sung, le dirigeant fondateur du pays, en avril. (AFP)
La Corée du Nord a procédé cette semaine à un essai de mise à jour du système de missiles de croisière à longue portée et à un essai de confirmation de la puissance d’une ogive conventionnelle pour un missile tactique surface-surface, a déclaré l’agence officielle Korean Central News Agency (KCNA).
Selon KCNA, Pyongyang a testé mardi des missiles de croisière à longue portée qui ont survolé la mer située à l’est de la péninsule (mer du Japon, ou mer de l’Est selon l’appellation coréenne) et ont atteint «l’île cible située à 1800 km».
Jeudi, la Corée du Nord a testé des missiles balistiques à courte portée qui ont frappé une «île cible», a détaillé l’agence, «prouvant que la puissance explosive de l’ogive conventionnelle était conforme aux exigences de conception».
Six tirs en un mois
Pyongyang a procédé à un sixième tir d’essai depuis le début de l’année, dont des missiles hypersoniques, et a laissé entendre la semaine dernière qu’il pourrait reprendre ses essais nucléaires et d’armes à longue portée – mis en pause depuis un moratoire auto-imposé en 2017. Le leader Kim Jong Un a également visité une usine de munitions, selon KCNA.
Kim «a hautement apprécié l’usine qui a réalisé des innovations collectives et des progrès considérables dans la production d’armes majeures», a rapporté KCNA.
Cette série d’essais prohibés par les sanctions a suscité une condamnation mondiale et une réunion à huis clos du Conseil de sécurité des Nations unies. Les États-Unis ont également imposé de nouvelles sanctions en réponse, suscitant la colère de la Corée du Nord.
La période est délicate pour la région: la Chine, seul allié majeur du régime nord-coréen, accueille les Jeux olympiques d’hiver en février et la Corée du Sud tient une élection présidentielle en mars.
Pyongyang se prépare à célébrer le 80e anniversaire de la naissance du père de Kim, le défunt dirigeant Kim Jong Il, en février, puis le 110e anniversaire de Kim Il-sung, le dirigeant fondateur du pays, en avril. (AFP)