La Grèce a annoncé dimanche avoir bloqué l’entrée sur son territoire de près de 10.000 migrants en 24 heures en provenance de Turquie.
De samedi matin à 06H00 (04H00 GMT) à la même heure dimanche matin, « 9.972 entrées illégales ont été empêchées dans la région d’Evros », le long des 212 km de frontière terrestre avec la Turquie, ont indiqué les autorités grecques dans un communiqué de presse distribué aux médias présents au poste frontalier de Kastanies, dans le nord-est de la Grèce.
A 02H00 du matin dimanche (00H00 GMT), les policiers et les soldats grecs ont empêché « une tentative organisée de migrants de traverser en masse la frontière », peut-on lire également dans ce communiqué.
En outre, 73 migrants ont été arrêtés au cours des dernières 24 heures, auxquels s’ajoutent 66 arrestations samedi, selon cette source gouvernementale.
« Personne ne venait d’Idlib (dans le nord-ouest de la Syrie, où une catastrophe humanitaire est en cours), la plupart venaient d’Afghanistan, du Pakistan et de Somalie », ajoute le communiqué.
Au moins 2.000 migrants supplémentaires sont arrivés dimanche à la frontière grecque pour tenter de passer en Europe, après l’annonce par le président turc Recep Tayyip Erdogan d’une ouverture des frontières par la Turquie.
Samedi soir, l’ONU avait chiffré à au moins 13.000 le nombre de migrants massés le long de la frontière entre la Grèce et la Turquie.
Les ministre et vice-ministre grecs de la Défense Nikos Panagiotopoulos et Alkiviadis Stefanis se sont rendus dans la région d’Evros dimanche.
La Turquie a affirmé vendredi qu’elle avait ouvert ses frontières terrestres et maritimes pour laisser passer les migrants, réveillant en Europe la crainte d’une nouvelle crise migratoire semblable à celle de 2015.
Militaires et policiers grecs ont renforcé leurs patrouilles le long du fleuve Evros, avertissant par haut-parleur de l’interdiction d’entrer en Grèce.
Mais la zone est vaste et ardue à surveiller. Les autorités grecques utilisent des drones pour tenter de localiser les groupes de migrants marchant près de la ligne invisible et surveiller leur avancée.
Au pic de la crise migratoire de 2015, la Grèce était la principale porte d’entrée en Europe pour des centaines milliers de migrants, la plupart fuyant le conflit syrien.
De samedi matin à 06H00 (04H00 GMT) à la même heure dimanche matin, « 9.972 entrées illégales ont été empêchées dans la région d’Evros », le long des 212 km de frontière terrestre avec la Turquie, ont indiqué les autorités grecques dans un communiqué de presse distribué aux médias présents au poste frontalier de Kastanies, dans le nord-est de la Grèce.
A 02H00 du matin dimanche (00H00 GMT), les policiers et les soldats grecs ont empêché « une tentative organisée de migrants de traverser en masse la frontière », peut-on lire également dans ce communiqué.
En outre, 73 migrants ont été arrêtés au cours des dernières 24 heures, auxquels s’ajoutent 66 arrestations samedi, selon cette source gouvernementale.
« Personne ne venait d’Idlib (dans le nord-ouest de la Syrie, où une catastrophe humanitaire est en cours), la plupart venaient d’Afghanistan, du Pakistan et de Somalie », ajoute le communiqué.
Au moins 2.000 migrants supplémentaires sont arrivés dimanche à la frontière grecque pour tenter de passer en Europe, après l’annonce par le président turc Recep Tayyip Erdogan d’une ouverture des frontières par la Turquie.
Samedi soir, l’ONU avait chiffré à au moins 13.000 le nombre de migrants massés le long de la frontière entre la Grèce et la Turquie.
Les ministre et vice-ministre grecs de la Défense Nikos Panagiotopoulos et Alkiviadis Stefanis se sont rendus dans la région d’Evros dimanche.
La Turquie a affirmé vendredi qu’elle avait ouvert ses frontières terrestres et maritimes pour laisser passer les migrants, réveillant en Europe la crainte d’une nouvelle crise migratoire semblable à celle de 2015.
Militaires et policiers grecs ont renforcé leurs patrouilles le long du fleuve Evros, avertissant par haut-parleur de l’interdiction d’entrer en Grèce.
Mais la zone est vaste et ardue à surveiller. Les autorités grecques utilisent des drones pour tenter de localiser les groupes de migrants marchant près de la ligne invisible et surveiller leur avancée.
Au pic de la crise migratoire de 2015, la Grèce était la principale porte d’entrée en Europe pour des centaines milliers de migrants, la plupart fuyant le conflit syrien.