PARIS (Reuters) - La SNCF a annoncé jeudi qu'elle prendrait à sa charge l'achat des 15 TGV décidé par l'Etat français en octobre pour sauver le site Alstom de Belfort.
Cette acquisition, d'un montant estimé à près de 500 millions d'euros, avait été critiquée, d'autant que l'Etat prévoyait de faire rouler ces trains sur des lignes à vitesse classique.
Dans un communiqué, la SNCF annonce qu'elle complètera finalement sa commande en cours de 40 TGV "L'Océane" par ces 15 TGV duplex, qui seront mis en service en 2019 et 2020 entre Paris et Bordeaux.
Selon l'entreprise, cette acquisition s'accompagnera de l'abandon de la rénovation prévue de 24 rames, qui représentait un coût de 150 millions d'euros, et elle permettra de réaliser des économies sur la maintenance.
La SNCF, qui qualifie cette décision d'"équilibrée financièrement", précise par ailleurs que le gouvernement lui a annoncé une baisse de la contribution de solidarité territoriale (CST), un prélèvement pesant principalement sur les TGV, pendant cinq ans, à partir de cette année.
Cette acquisition, d'un montant estimé à près de 500 millions d'euros, avait été critiquée, d'autant que l'Etat prévoyait de faire rouler ces trains sur des lignes à vitesse classique.
Dans un communiqué, la SNCF annonce qu'elle complètera finalement sa commande en cours de 40 TGV "L'Océane" par ces 15 TGV duplex, qui seront mis en service en 2019 et 2020 entre Paris et Bordeaux.
Selon l'entreprise, cette acquisition s'accompagnera de l'abandon de la rénovation prévue de 24 rames, qui représentait un coût de 150 millions d'euros, et elle permettra de réaliser des économies sur la maintenance.
La SNCF, qui qualifie cette décision d'"équilibrée financièrement", précise par ailleurs que le gouvernement lui a annoncé une baisse de la contribution de solidarité territoriale (CST), un prélèvement pesant principalement sur les TGV, pendant cinq ans, à partir de cette année.
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