Dans un bref message à la presse, l’armée israélienne a d’abord indiqué « mener des frappes contre des cibles terroristes dans la bande de Gaza », sous contrôle du mouvement islamiste armé Hamas depuis 2007 et objet depuis d’un blocus israélien.
« Des avions de combat, des hélicoptères et des chars ont frappé un site de fabrication de roquettes et des postes militaires appartenant à l’organisation terroriste du Hamas », a-t-elle précisé plus tard dimanche.
Des sources sécuritaires palestiniennes ont précisé à l’AFP qu’un « site des brigades al-Qassam (branche armée du Hamas, NDLR) à l’ouest de Khan Younès », ville du sud de la bande de Gaza, avait été ciblé par « des avions de combat israéliens », faisant aussi état de tirs d’artillerie sur une base d’observation du Hamas dans le nord de l’enclave.
Samedi matin, deux roquettes tirées depuis la bande de Gaza étaient tombées en mer Méditerranée, au large de la métropole israélienne de Tel-Aviv. Les sirènes d’alarme n’avaient pas été déclenchées et le système d’interception des roquettes n’avait pas été actionné, selon un communiqué de l’armée israélienne.
Des sources au sein du Hamas ont indiqué à l’AFP que ce tir « était dû à un problème technique en raison du mauvais temps ».
Un porte-parole du Hamas a condamné les frappes israéliennes, appelant à continuer à « défendre (le) peuple palestinien et (les) sites saints contre l’occupation et les colons jusqu’à la victoire ».
« Celui qui vise avec ses missiles l’État d’Israël en assumera les conséquences », a déclaré de son côté dimanche le premier ministre israélien, Naftali Bennett, en ouverture du Conseil des ministres hebdomadaire.
Une guerre de onze jours a opposé en mai 2021 Israël et le Hamas, ennemis jurés, leur quatrième depuis 2007.
Depuis l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu fragile, cinq projectiles (roquettes ou obus) avaient jusqu’à présent été tirés depuis Gaza vers le territoire israélien, soit le plus faible nombre dans les six mois après une guerre Israël/Hamas, selon le rapport annuel de l’armée israélienne publié le 29 décembre. (AFP)
« Des avions de combat, des hélicoptères et des chars ont frappé un site de fabrication de roquettes et des postes militaires appartenant à l’organisation terroriste du Hamas », a-t-elle précisé plus tard dimanche.
Des sources sécuritaires palestiniennes ont précisé à l’AFP qu’un « site des brigades al-Qassam (branche armée du Hamas, NDLR) à l’ouest de Khan Younès », ville du sud de la bande de Gaza, avait été ciblé par « des avions de combat israéliens », faisant aussi état de tirs d’artillerie sur une base d’observation du Hamas dans le nord de l’enclave.
Samedi matin, deux roquettes tirées depuis la bande de Gaza étaient tombées en mer Méditerranée, au large de la métropole israélienne de Tel-Aviv. Les sirènes d’alarme n’avaient pas été déclenchées et le système d’interception des roquettes n’avait pas été actionné, selon un communiqué de l’armée israélienne.
Des sources au sein du Hamas ont indiqué à l’AFP que ce tir « était dû à un problème technique en raison du mauvais temps ».
Un porte-parole du Hamas a condamné les frappes israéliennes, appelant à continuer à « défendre (le) peuple palestinien et (les) sites saints contre l’occupation et les colons jusqu’à la victoire ».
« Celui qui vise avec ses missiles l’État d’Israël en assumera les conséquences », a déclaré de son côté dimanche le premier ministre israélien, Naftali Bennett, en ouverture du Conseil des ministres hebdomadaire.
Une guerre de onze jours a opposé en mai 2021 Israël et le Hamas, ennemis jurés, leur quatrième depuis 2007.
Depuis l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu fragile, cinq projectiles (roquettes ou obus) avaient jusqu’à présent été tirés depuis Gaza vers le territoire israélien, soit le plus faible nombre dans les six mois après une guerre Israël/Hamas, selon le rapport annuel de l’armée israélienne publié le 29 décembre. (AFP)