Le président du comité de pilotage du dialogue national Famara Ibrahima Sagna assure qu’il n’y a "pas de malice" derrière la décision consistant à coopter de nouvelles personnalités devant siéger au sein de cette instance appelée à conduire ces concertations impliquant différents acteurs du pays. A cet effet, il a fait les précisions suivantes :
"Moi, on ne me manipule pas, personne ne me manipule. J’ai fait 42 ans d’administration, personne ne m’a manipulé et je n’ai manipulé personne. Ce n’est pas après avoir déposé mes bagages (…) que je vais me prêter à des jeux pour gêner Tartempion au profit de Jean. Franchement, croyez-le, s’il y a une erreur, j’assume l’essentiel de l’erreur."
L'ancien président du Conseil Economique et Social (CES) du Sénégal répondait de manière indirecte à ceux qui lui reprochent d'avoir validé le choix du président Macky Sall de rajouter 40 personnalités aux membres déjà choisis du Comité de pilotage du dialogue national (CPDN).
"Personnellement, je suis intervenu auprès du chef de l’Etat pour que l’on augmente les commissions", a indiqué Famara Ibrahima Sagna, en réponse à des membres du comité de pilotage du dialogue national qui ont déploré la "démarche non inclusive" sur ce point précis.
"J’avoue que, ce que je puis témoigner en tant que président (du comité de pilotage du dialogue national), c’est qu’il n’y a pas de malice derrière" cette décision, a-t-il affirmé mardi à l’ouverture de la première réunion du comité de pilotage du dialogue national.
"Si quelqu’un me croit capable de dire la vérité, qu’il accepte ce que je viens de dire". Il a évoqué à ce propos un "désir de réparer une erreur" sans "aucune manipulation".
Famara Ibrahima Sagna indique que sa requête consistant à augmenter le nombre de commissions a été acceptée par le chef de l’Etat, ajoutant avoir aussi demandé l’augmentation du nombre de femmes qui étaient minoritaires au sein du CPDN.
Ainsi, trois nouvelles commissions (modernisation de l’Etat et lutte contre la corruption, Décentralisation et territorialisation des politiques publiques et synthèse) sont venues porter à huit le nombre total des commissions.
Pour rassurer ses collaborateurs, le président du comité de pilotage du dialogue national dit avoir "appris à gérer l’équidistance" au cours de sa longue carrière administrative et politique. (avec APS)
"Moi, on ne me manipule pas, personne ne me manipule. J’ai fait 42 ans d’administration, personne ne m’a manipulé et je n’ai manipulé personne. Ce n’est pas après avoir déposé mes bagages (…) que je vais me prêter à des jeux pour gêner Tartempion au profit de Jean. Franchement, croyez-le, s’il y a une erreur, j’assume l’essentiel de l’erreur."
L'ancien président du Conseil Economique et Social (CES) du Sénégal répondait de manière indirecte à ceux qui lui reprochent d'avoir validé le choix du président Macky Sall de rajouter 40 personnalités aux membres déjà choisis du Comité de pilotage du dialogue national (CPDN).
"Personnellement, je suis intervenu auprès du chef de l’Etat pour que l’on augmente les commissions", a indiqué Famara Ibrahima Sagna, en réponse à des membres du comité de pilotage du dialogue national qui ont déploré la "démarche non inclusive" sur ce point précis.
"J’avoue que, ce que je puis témoigner en tant que président (du comité de pilotage du dialogue national), c’est qu’il n’y a pas de malice derrière" cette décision, a-t-il affirmé mardi à l’ouverture de la première réunion du comité de pilotage du dialogue national.
"Si quelqu’un me croit capable de dire la vérité, qu’il accepte ce que je viens de dire". Il a évoqué à ce propos un "désir de réparer une erreur" sans "aucune manipulation".
Famara Ibrahima Sagna indique que sa requête consistant à augmenter le nombre de commissions a été acceptée par le chef de l’Etat, ajoutant avoir aussi demandé l’augmentation du nombre de femmes qui étaient minoritaires au sein du CPDN.
Ainsi, trois nouvelles commissions (modernisation de l’Etat et lutte contre la corruption, Décentralisation et territorialisation des politiques publiques et synthèse) sont venues porter à huit le nombre total des commissions.
Pour rassurer ses collaborateurs, le président du comité de pilotage du dialogue national dit avoir "appris à gérer l’équidistance" au cours de sa longue carrière administrative et politique. (avec APS)