Le Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE), par la voix de son président Babacar Guèye, s’est dit mardi favorable à la tenue à date échue des élections municipales prévues en décembre prochain.
"Par principe, la société civile est toujours pour que les élections se tiennent à date échue", a-t-il déclaré en marge d’un atelier d’évaluation de la participation de la société civile sénégalaise au processus électoral du 24 février, à travers le programme "Sunu Election" (Notre élection).
Ce programme, une initiative de la société civile sénégalaise soutenue par le gouvernement américain à travers l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), se veut une contribution à la consolidation de la démocratie sénégalaise.
Pour le professeur Babacar Guèye, il faut que les pouvoirs publics sénégalais "fassent le nécessaire pour que les élections puissent se tenir à date échue", soulignant tout de même qu’à l’impossible nul n’est tenu.
"Si visiblement il n’est pas possible d’organiser ces élections locales à date échue, on sera bien obligé de s’ajuster. Mais notre position de principe c’est que l’élection doit se dérouler à date échue", a-t-il répété. (APS)
"Par principe, la société civile est toujours pour que les élections se tiennent à date échue", a-t-il déclaré en marge d’un atelier d’évaluation de la participation de la société civile sénégalaise au processus électoral du 24 février, à travers le programme "Sunu Election" (Notre élection).
Ce programme, une initiative de la société civile sénégalaise soutenue par le gouvernement américain à travers l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), se veut une contribution à la consolidation de la démocratie sénégalaise.
Pour le professeur Babacar Guèye, il faut que les pouvoirs publics sénégalais "fassent le nécessaire pour que les élections puissent se tenir à date échue", soulignant tout de même qu’à l’impossible nul n’est tenu.
"Si visiblement il n’est pas possible d’organiser ces élections locales à date échue, on sera bien obligé de s’ajuster. Mais notre position de principe c’est que l’élection doit se dérouler à date échue", a-t-il répété. (APS)