TUNIS (Reuters) - Le président tunisien Béji Caïd Essebsi, 92 ans, a été admis jeudi à l'hôpital militaire de Tunis à la suite d'un grave malaise et se trouve dans un état "très critique", a déclaré l'un de ses conseillers.
Dans la soirée, un conseiller de la présidence a cependant indiqué que l'état de santé du chef de l'Etat commençait de s'améliorer. Il n'a pas donné de précisions.
Acteur de premier plan de la transition après la chute de Zine ben Ali en 2011, Béji Caïd Essebsi est devenu trois ans plus tard le premier président tunisien élu démocratiquement au suffrage universel direct après l'adoption d'une nouvelle Constitution.
Le chef de l'Etat avait déjà été hospitalisé vendredi dernier pour des examens, avaient alors indiqué les services de la présidence.
Le Premier ministre tunisien, Youssef Chahed, a écrit sur Facebook qu'Essebsi recevait tous les soins et l'attention nécessaires et que les gens devaient cesser de répandre de fausses nouvelles sur son état.
La présidence a indiqué que "son état est désormais stationnaire et il subit les examens nécessaires".
Essebsi a annoncé ce mois-ci qu'il ne serait pas candidat à un deuxième mandat lors de la présidentielle prévue le 17 novembre. Des élections législatives doivent avoir lieu un peu plus tôt, le 6 octobre.
Deux attentats suicides visant la police ont fait un mort et plusieurs blessés jeudi à Tunis.
Dans la soirée, un conseiller de la présidence a cependant indiqué que l'état de santé du chef de l'Etat commençait de s'améliorer. Il n'a pas donné de précisions.
Acteur de premier plan de la transition après la chute de Zine ben Ali en 2011, Béji Caïd Essebsi est devenu trois ans plus tard le premier président tunisien élu démocratiquement au suffrage universel direct après l'adoption d'une nouvelle Constitution.
Le chef de l'Etat avait déjà été hospitalisé vendredi dernier pour des examens, avaient alors indiqué les services de la présidence.
Le Premier ministre tunisien, Youssef Chahed, a écrit sur Facebook qu'Essebsi recevait tous les soins et l'attention nécessaires et que les gens devaient cesser de répandre de fausses nouvelles sur son état.
La présidence a indiqué que "son état est désormais stationnaire et il subit les examens nécessaires".
Essebsi a annoncé ce mois-ci qu'il ne serait pas candidat à un deuxième mandat lors de la présidentielle prévue le 17 novembre. Des élections législatives doivent avoir lieu un peu plus tôt, le 6 octobre.
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