Le président libérien George WEAH
C’est la tourmente dans l’entourage immédiat du Président libérien George Weah. Trois de ses plus collaborateurs ont été désignés par les Etats-Unis comme des moteurs de la corruption publique en cours » dans ce pays d’Afrique de l’Ouest. Il s’agit de Nathaniel McGill, ministre d’Etat en charge des affaires présidentielles. Exerçant aussi les fonctions de chef de cabinet du président Weah, McGill « a utilisé sa position pour saper l'intégrité et l'indépendance des institutions démocratiques du Liberia et subvertir les priorités du gouvernement à des fins personnelles », accuse le Département d’Etat dans un communiqué de presse parvenu à www.impact.sn
Deuxième personnalité touchée par les sanctions US, Sayma Syrenius Cephus. Le Solliciteur général et procureur en chef du Libéria est soupçonné d’avoir « développé des relations étroites avec des suspects dans des enquêtes criminelles et reçu des pots-de-vin de la part d’individus en échange de l’abandon de leurs dossiers.
Bill Twehway, directeur général de l’Autorité portuaire nationale (NPA) « a utilisé sa position au sein de la NPA pour promouvoir de manière corrompue sa richesse personnelle et son agenda politique », écrit le Département d’Etat.
Selon l’Administration du président Joe Biden, ces trois hauts responsables du gouvernement libérien, à partir de leurs positions de pouvoir, « ont contribué à l’aggravation de la corruption au Libéria. »
Leurs désignations en vertu du décret 13818 de la loi Magnitsky relative aux « auteurs de violations graves » des droits de l’homme et de « corruption » à travers le monde entier traduisent « l’engagement des « Etats-Unis à mettre en œuvre la stratégie américaine de lutte contre la corruption et à établir un partenariat avec le gouvernement et le peuple libériens pour aider le pays à (se) tracer une meilleure voie ».
Deuxième personnalité touchée par les sanctions US, Sayma Syrenius Cephus. Le Solliciteur général et procureur en chef du Libéria est soupçonné d’avoir « développé des relations étroites avec des suspects dans des enquêtes criminelles et reçu des pots-de-vin de la part d’individus en échange de l’abandon de leurs dossiers.
Bill Twehway, directeur général de l’Autorité portuaire nationale (NPA) « a utilisé sa position au sein de la NPA pour promouvoir de manière corrompue sa richesse personnelle et son agenda politique », écrit le Département d’Etat.
Selon l’Administration du président Joe Biden, ces trois hauts responsables du gouvernement libérien, à partir de leurs positions de pouvoir, « ont contribué à l’aggravation de la corruption au Libéria. »
Leurs désignations en vertu du décret 13818 de la loi Magnitsky relative aux « auteurs de violations graves » des droits de l’homme et de « corruption » à travers le monde entier traduisent « l’engagement des « Etats-Unis à mettre en œuvre la stratégie américaine de lutte contre la corruption et à établir un partenariat avec le gouvernement et le peuple libériens pour aider le pays à (se) tracer une meilleure voie ».
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