Les « autorités » de l'Est de la Libye ont expulsé 1.400 migrants et réfugiés depuis le début de l'année, en violation du droit international, a déploré mardi le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH).
« Ces expulsions violent les obligations de la Libye en matière de droit international relatif aux droits de l'homme sur le non-refoulement et les expulsions collectives, et par le risque que d'autres soient bientôt expulsés de force », a déclaré Jeremy Laurence, porte-parole du Haut-Commissariat, lors d'un point de presse virtuel depuis Genève.
« Les chiffres dont je dispose datent du début de l'année, soit 1.400 migrants et réfugiés, et ce mois-ci, il y a eu cet épisode de 160 migrants soudanais renvoyés chez eux et une expulsion admise par les autorités », a ajouté M. Laurence. Selon le HCDH, des migrants et des réfugiés ont été renvoyés au Soudan, au Niger, au Tchad et en Somalie. (ONU)
« Ces expulsions violent les obligations de la Libye en matière de droit international relatif aux droits de l'homme sur le non-refoulement et les expulsions collectives, et par le risque que d'autres soient bientôt expulsés de force », a déclaré Jeremy Laurence, porte-parole du Haut-Commissariat, lors d'un point de presse virtuel depuis Genève.
« Les chiffres dont je dispose datent du début de l'année, soit 1.400 migrants et réfugiés, et ce mois-ci, il y a eu cet épisode de 160 migrants soudanais renvoyés chez eux et une expulsion admise par les autorités », a ajouté M. Laurence. Selon le HCDH, des migrants et des réfugiés ont été renvoyés au Soudan, au Niger, au Tchad et en Somalie. (ONU)