Les violations des droits de l’homme et les abus généralisés et systématiques dont sont victimes les migrants en Libye sont aggravés par l’absence de voies d’accès à la protection à l’intérieur et à l’extérieur du pays, selon un rapport des Nations Unies sur les droits de l’homme publié ce mardi.
Selon le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme (HCDH), cela signifie que les migrants sont souvent contraints d’accepter l’« aide au retour » vers leur pays d’origine dans des conditions qui peuvent ne pas être conformes aux lois et normes internationales relatives aux droits de l’homme.
« Les migrants sont fréquemment contraints d’accepter un retour assisté pour échapper à des conditions de détention abusives, à des menaces de torture, à des mauvais traitements, à des violences sexuelles, à des disparitions forcées, à des extorsions et à d’autres violations et abus des droits de l’homme », indique le rapport.
Collectivement, ces conditions ont créé un environnement coercitif qui est souvent incompatible avec le libre choix. (ONU Info)
Selon le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme (HCDH), cela signifie que les migrants sont souvent contraints d’accepter l’« aide au retour » vers leur pays d’origine dans des conditions qui peuvent ne pas être conformes aux lois et normes internationales relatives aux droits de l’homme.
« Les migrants sont fréquemment contraints d’accepter un retour assisté pour échapper à des conditions de détention abusives, à des menaces de torture, à des mauvais traitements, à des violences sexuelles, à des disparitions forcées, à des extorsions et à d’autres violations et abus des droits de l’homme », indique le rapport.
Collectivement, ces conditions ont créé un environnement coercitif qui est souvent incompatible avec le libre choix. (ONU Info)