La délégation de la Cédéao n’a rencontré - c'est une première pour des discussions - qu’une seule personne : le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta. D’après nos informations, lors des entretiens, l’ambiance était plutôt studieuse. L’ancien président du Nigeria Goodluck Jonathan et Jean-Claude Kassi Brou ont sorti un message de leur poche : les chefs d’États de la Cédéao réaffirment qu’au Mali, les élections générales doivent se tenir comme prévu fin février 2022.
« Ce qui a été décidé par la conférence des chefs d'État de la Cédéao, c'est d'organiser les élections au mois de février. Ça veut dire, pour ce qui nous concerne à la Cédéao, avoir un calendrier avant la fin de l'année. Nous allons revenir à Bamako au mois de janvier pour suivre la discussion et les échanges avec les autorités de la Transition. »
À l’issue de la rencontre, un membre de la délégation de la Cédéao a ajouté pour RFI : « Nous avons dit au président Goïta que la Cédéao espère obtenir de lui, avant le 31 décembre 2021, un calendrier détaillé de l’organisation de ces élections. » Mais en retour, notre interlocuteur n’a pas donné la réaction du président de la Transition, et le service de communication de ce dernier interrogé, n’a pas encore répondu. (RFI)
« Ce qui a été décidé par la conférence des chefs d'État de la Cédéao, c'est d'organiser les élections au mois de février. Ça veut dire, pour ce qui nous concerne à la Cédéao, avoir un calendrier avant la fin de l'année. Nous allons revenir à Bamako au mois de janvier pour suivre la discussion et les échanges avec les autorités de la Transition. »
À l’issue de la rencontre, un membre de la délégation de la Cédéao a ajouté pour RFI : « Nous avons dit au président Goïta que la Cédéao espère obtenir de lui, avant le 31 décembre 2021, un calendrier détaillé de l’organisation de ces élections. » Mais en retour, notre interlocuteur n’a pas donné la réaction du président de la Transition, et le service de communication de ce dernier interrogé, n’a pas encore répondu. (RFI)