Rabat - La holding de la famille royale marocaine, la Société nationale d'investissement (SNI), a annoncé mercredi avoir changé de nom pour devenir Al Mada, réaffirmant sa vocation de fonds d'investissement panafricain.
La Conseil d'administration de la holding royale s'est "prononcé favorablement sur un changement de nom du fonds qui devient Al Mada", a souligné la SNI dans un communiqué.
Ce changement de nom marque "l'aboutissement de la mutation profonde de la SNI engagée depuis 2014 et arrivée aujourd'hui à maturité", est-il précisé.
La SNI a engagé ces dernières années une transformation pour passer de société industrielle à société de portefeuille, cédant le contrôle de ses sociétés les plus développées, principalement dans le secteur de l'agroalimentaire, tout en se lançant dans des projets énergétiques avec Nareva.
En 2013, la SNI s'est ainsi désengagée du producteur de sucre Cosumar, en cédant 27,5% au Singapourien Wilmar International, un des plus grands transformateurs de matières premières agricoles.
La holding avait déjà cédé, dès 2011, le contrôle de l'huilerie Cristal Lesieur au français Sofiprotéol.
En 2014 puis en 2015, la SNI a cédé toutes ses parts dans la Centrale Laitière du Maroc au groupe agroalimentaire français Danone.
En se muant depuis en fonds d'investissement panafricain, elle a vu ses activités à l'extérieur du Maroc contribuer à hauteur de 26% de ses résultats en 2017, contre 11% en 2013, "confirmant sa dimension internationale", s'est félicitée la holding.
Premier groupe privé du Maroc, la SNI est désormais "présente dans 24 pays en Afrique, avec plus de 6,5 milliards de dirhams (environ 574 millions d'euros) investis sur le continent hors Maroc en 2017", a encore précisé le communiqué.
Elle est notamment présente dans le secteur bancaire avec Attijariwafa Bank, les télécommunications avec l'opérateur Inwi, l'immobilier, les mines ou la encore distribution.
"Al Mada entend affirmer, en tant que fonds d'investissement privé panafricain à long terme, sa mission de partenaire de premier plan du développement économique du continent africain", poursuit la SNI, alors que le royaume est engagé depuis plusieurs années dans une "stratégie africaine" qui s'appuie sur des fleurons de son économie.
La Conseil d'administration de la holding royale s'est "prononcé favorablement sur un changement de nom du fonds qui devient Al Mada", a souligné la SNI dans un communiqué.
Ce changement de nom marque "l'aboutissement de la mutation profonde de la SNI engagée depuis 2014 et arrivée aujourd'hui à maturité", est-il précisé.
La SNI a engagé ces dernières années une transformation pour passer de société industrielle à société de portefeuille, cédant le contrôle de ses sociétés les plus développées, principalement dans le secteur de l'agroalimentaire, tout en se lançant dans des projets énergétiques avec Nareva.
En 2013, la SNI s'est ainsi désengagée du producteur de sucre Cosumar, en cédant 27,5% au Singapourien Wilmar International, un des plus grands transformateurs de matières premières agricoles.
La holding avait déjà cédé, dès 2011, le contrôle de l'huilerie Cristal Lesieur au français Sofiprotéol.
En 2014 puis en 2015, la SNI a cédé toutes ses parts dans la Centrale Laitière du Maroc au groupe agroalimentaire français Danone.
En se muant depuis en fonds d'investissement panafricain, elle a vu ses activités à l'extérieur du Maroc contribuer à hauteur de 26% de ses résultats en 2017, contre 11% en 2013, "confirmant sa dimension internationale", s'est félicitée la holding.
Premier groupe privé du Maroc, la SNI est désormais "présente dans 24 pays en Afrique, avec plus de 6,5 milliards de dirhams (environ 574 millions d'euros) investis sur le continent hors Maroc en 2017", a encore précisé le communiqué.
Elle est notamment présente dans le secteur bancaire avec Attijariwafa Bank, les télécommunications avec l'opérateur Inwi, l'immobilier, les mines ou la encore distribution.
"Al Mada entend affirmer, en tant que fonds d'investissement privé panafricain à long terme, sa mission de partenaire de premier plan du développement économique du continent africain", poursuit la SNI, alors que le royaume est engagé depuis plusieurs années dans une "stratégie africaine" qui s'appuie sur des fleurons de son économie.