Les Forces de défense de l’Ambazonie parlent d'un « événement malheureux » et exprime ses regrets, déclarant que le journaliste Anye Ndé Nsoh (photo), tué dimanche 7 mai dans la capitale régionale du Nord-Ouest anglophone, au Cameroun, n'était pas la cible visée initialement par l’opération. Anye Ndé Nsoh aurait été victime d’une « erreur sur la personne » visée : c’est ce que déclare dans une vidéo Capo Daniel, leader en exil des Forces de défense de l’Ambazonie, un des mouvements séparatistes des régions anglophones du Cameroun.
Capo Daniel affirme que c’est une unité des Forces de défense ambazoniennes qui a mené l’opération dimanche 7 mai au soir dans le centre de Bamenda. L’objectif était de s’en prendre à un commandant militaire habitué du bar à l’extérieur duquel le journaliste a été tué. Le leader séparatiste exprime ses regrets, sa compassion à l’égard des proches et assure que son mouvement s’est engagé à considérer les journalistes comme devant être protégés. (RFI)
Capo Daniel affirme que c’est une unité des Forces de défense ambazoniennes qui a mené l’opération dimanche 7 mai au soir dans le centre de Bamenda. L’objectif était de s’en prendre à un commandant militaire habitué du bar à l’extérieur duquel le journaliste a été tué. Le leader séparatiste exprime ses regrets, sa compassion à l’égard des proches et assure que son mouvement s’est engagé à considérer les journalistes comme devant être protégés. (RFI)