« Pour le SEN du FRAPP, l’essentiel n’est pas un remaniement ministériel politicien et un élargissement du « paaco » national à d’autres partis politiques qui se réclamaient de l’opposition. L’urgence est dans la réduction du train de vie de l’Etat avec la notamment la suppression du CESE, du HCCT, du CNDT, du HCDS. L’urgence pour le FRAPP est dans la prise de mesures immédiates pour faire face à la crise économique et sociale qui frappe le peuple sénégalais, conséquences des options politiques du président Macky Sall qui envoient notre jeunesse à l’émigration irrégulière.
Le FRAPP dénonce l’irresponsabilité du président Macky Sall qui avait dit au peuple avec quelque cas de coronavirus que « l’heure était grave » mais qui garde un silence méprisant devant les centaines de jeunes que ses politiques ont condamnés à mort dans l’océan atlantique, dans le désert du Sahara quand ils ne sont pas recrutés par les groupes terroristes.
C’est pourquoi, l’heure n’est pas à la relance d’un système néocolonial mis à nu par le coronavirus. Il ne s’agit pas de « relancer » le moteur d’une machine qui produit la dépendance sanitaire et pharmaceutique, la dépendance alimentaire, monétaire et budgétaire avec comme conséquences le pillage de nos ressources halieutiques, minières produisant pauvreté et chômage endémique. L’heure est aussi à l’arrêt du « paaco » et du « tong-tong » national dirigés par la bourgeoisie bureaucratique du président Macky Sall.
Le FRAPP exprime sa grande inquiétude sur les questions de la 3e candidature et de la manipulation des sentiments ethniques au Sénégal, en Guinée, en Côte d’Ivoire...Le SEN appelle le président Macky Sall, son parti et sa coalition, ainsi que les différents acteurs politiques de la Guinée et de la Côte d’Ivoire à la responsabilité. La manipulation des sentiments religieux et ethniques dans le Sénégal, la Guinée et la Côte d’Ivoire multi-ethniques, multi-religieux et multi-confrériques est irresponsable et criminelle.
Le FRAPP invite tous les démocrates ouest-africains– sans se couper des luttes quotidiennes des populations – à barrer la route collectivement aux projets de 3e candidature. »
Dakar, le 05 novembre 2020
Le Secrétariat Exécutif National (SEN) du FRAPP
Le FRAPP dénonce l’irresponsabilité du président Macky Sall qui avait dit au peuple avec quelque cas de coronavirus que « l’heure était grave » mais qui garde un silence méprisant devant les centaines de jeunes que ses politiques ont condamnés à mort dans l’océan atlantique, dans le désert du Sahara quand ils ne sont pas recrutés par les groupes terroristes.
C’est pourquoi, l’heure n’est pas à la relance d’un système néocolonial mis à nu par le coronavirus. Il ne s’agit pas de « relancer » le moteur d’une machine qui produit la dépendance sanitaire et pharmaceutique, la dépendance alimentaire, monétaire et budgétaire avec comme conséquences le pillage de nos ressources halieutiques, minières produisant pauvreté et chômage endémique. L’heure est aussi à l’arrêt du « paaco » et du « tong-tong » national dirigés par la bourgeoisie bureaucratique du président Macky Sall.
Le FRAPP exprime sa grande inquiétude sur les questions de la 3e candidature et de la manipulation des sentiments ethniques au Sénégal, en Guinée, en Côte d’Ivoire...Le SEN appelle le président Macky Sall, son parti et sa coalition, ainsi que les différents acteurs politiques de la Guinée et de la Côte d’Ivoire à la responsabilité. La manipulation des sentiments religieux et ethniques dans le Sénégal, la Guinée et la Côte d’Ivoire multi-ethniques, multi-religieux et multi-confrériques est irresponsable et criminelle.
Le FRAPP invite tous les démocrates ouest-africains– sans se couper des luttes quotidiennes des populations – à barrer la route collectivement aux projets de 3e candidature. »
Dakar, le 05 novembre 2020
Le Secrétariat Exécutif National (SEN) du FRAPP