La présentation du document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) 2019-2021, document introductif du débat d’orientation budgétaire tenu le samedi 30 juin 2018 à l’assemblée Nationale a permis au Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Monsieur Amadou BA, à décliner les perspectives budgétaires à venir en cohérence avec la vision de Monsieur le Président de la République, son Excellence Macky SALL :
** pour 2019, les ressources de la loi de finances seront d’environ 4 000 milliards de FCFA provenant de l’effort de mobilisation des ressources internes mais également de ressources externes acquises au moindre coût et affectées exclusivement aux projets économiquement rentables et socialement utiles.
** la politique budgétaire va s’attache davantage à redistribuer à nos concitoyens les fruits bien mérités de la croissance forte et durable que le PSE a mis sur les rails, après plusieurs années d’assainissement du cadre macroéconomique, de reconstitution de nos bases productives et de rationalisation de nos dépenses.
** C’est ainsi que les dépenses, à l’instar de 2018, sera consacrée à l’amplification de la politique de l’emploi des jeunes, des femmes et de l’entreprenariat, le renforcement du capital humain et de la protection sociale ainsi que de la gouvernance locale, le tout, dans un contexte marqué par le renforcement des moyens destinés aux forces de défense et de sécurité de notre pays.
** Cette option, matérialisée par le concept d’« année sociale », et bien traduite dans la loi de finances initiale 2018 et renforcée dans la loi de finances rectificative 2018, continuera de s’incarner encore dans les lois de finances à venir puisque le DPBEP 2019-2021 conserve les principaux programmes qui constituent les marqueurs identitaires de notre programme économique et social :
** Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) ;
** du Programme de promotion des villes (PROMOVILLES) ;
** Programmes des Bourses de sécurité familiale ;
** Programme d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise (PRACAS) ;
** Fonds d’entreprenariat rapide pour les femmes et les jeunes ;
** Programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUMA) ;
** revalorisation des bourses et allocations d’études des étudiants du supérieur ;
** Couverture Maladie Universelle ;
** tous les projets et programmes visant à doter nos forces de défense et de sécurité de moyens dignes de ce nom, pour leur permettre de faire face aux menaces multiples qui peuvent saper nos efforts vers l’émergence.
C’est pourquoi, les dépenses en capital augmenteront de 440,7 milliards FCFA en valeur absolue sur la période 2019-2021; mais aussi les dépenses courantes de 267,7 milliards de FCFA pour renforcer les crédits alloués aux :
Quant aux dépenses de personnel, elles connaîtront une hausse de 375,3 milliards de FCFA pour prendre en charge notamment :
i. l’impact budgétaire de la mise en œuvre des accords conclus avec les syndicats de l’éducation, de la santé et de la justice.
Les charges des comptes spéciaux du Trésor connaîtront une hausse de 22%, imputable à :
** pour 2019, les ressources de la loi de finances seront d’environ 4 000 milliards de FCFA provenant de l’effort de mobilisation des ressources internes mais également de ressources externes acquises au moindre coût et affectées exclusivement aux projets économiquement rentables et socialement utiles.
** la politique budgétaire va s’attache davantage à redistribuer à nos concitoyens les fruits bien mérités de la croissance forte et durable que le PSE a mis sur les rails, après plusieurs années d’assainissement du cadre macroéconomique, de reconstitution de nos bases productives et de rationalisation de nos dépenses.
** C’est ainsi que les dépenses, à l’instar de 2018, sera consacrée à l’amplification de la politique de l’emploi des jeunes, des femmes et de l’entreprenariat, le renforcement du capital humain et de la protection sociale ainsi que de la gouvernance locale, le tout, dans un contexte marqué par le renforcement des moyens destinés aux forces de défense et de sécurité de notre pays.
** Cette option, matérialisée par le concept d’« année sociale », et bien traduite dans la loi de finances initiale 2018 et renforcée dans la loi de finances rectificative 2018, continuera de s’incarner encore dans les lois de finances à venir puisque le DPBEP 2019-2021 conserve les principaux programmes qui constituent les marqueurs identitaires de notre programme économique et social :
** Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) ;
** du Programme de promotion des villes (PROMOVILLES) ;
** Programmes des Bourses de sécurité familiale ;
** Programme d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise (PRACAS) ;
** Fonds d’entreprenariat rapide pour les femmes et les jeunes ;
** Programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUMA) ;
** revalorisation des bourses et allocations d’études des étudiants du supérieur ;
** Couverture Maladie Universelle ;
** tous les projets et programmes visant à doter nos forces de défense et de sécurité de moyens dignes de ce nom, pour leur permettre de faire face aux menaces multiples qui peuvent saper nos efforts vers l’émergence.
C’est pourquoi, les dépenses en capital augmenteront de 440,7 milliards FCFA en valeur absolue sur la période 2019-2021; mais aussi les dépenses courantes de 267,7 milliards de FCFA pour renforcer les crédits alloués aux :
- universités au titre de l’application du régime complémentaire de retraite des enseignants du supérieur,
- bourses et allocations d’études et,
- œuvres universitaires.
Quant aux dépenses de personnel, elles connaîtront une hausse de 375,3 milliards de FCFA pour prendre en charge notamment :
i. l’impact budgétaire de la mise en œuvre des accords conclus avec les syndicats de l’éducation, de la santé et de la justice.
Les charges des comptes spéciaux du Trésor connaîtront une hausse de 22%, imputable à :
- l’impact budgétaire du régime complémentaire de retraite d personnel de l’Etat cotisant au FNR et à l’augmentation des ressources allouées au compte de prêts.