Dix braconniers ont été condamnés à 16 ans de prison chacun pour avoir braconné sur les terres d'un parc national au Mozambique, ont annoncé les juges.
Le Mozambique a fait revivre lentement ses réserves d'animaux sauvages après la guerre civile (1975-1992) qui a fait un million de morts et a affecté la vie sauvage. Les animaux sauvages ont commencé à revenir dans les parcs, mais les braconniers constituent un des problèmes majeurs pour ces efforts de repeuplement animal.
Les braconniers condamnés faisaient partie d'un groupe de 12 hommes arrêtés en juin au cours d'une opération antibraconnage dans le Parc national Gorongosa, situé dans la province de Sofala (centre).
Le tribunal provincial a reconnu coupable les dix hommes mardi. L'un des suspects est mort en prison et le dernier ne s'est pas présenté au procès après avoir été mis en liberté sous caution.
Le juge principal, Martinho Muchiguere, a indiqué que les braconniers avaient agi «contre les efforts du gouvernement du Mozambique pour protéger l'environnement». Outre leur peine de prison, les condamnés devront payer à l'Etat 5% de leurs revenus minimum sur trois mois. (afp/nxp)
Le Mozambique a fait revivre lentement ses réserves d'animaux sauvages après la guerre civile (1975-1992) qui a fait un million de morts et a affecté la vie sauvage. Les animaux sauvages ont commencé à revenir dans les parcs, mais les braconniers constituent un des problèmes majeurs pour ces efforts de repeuplement animal.
Les braconniers condamnés faisaient partie d'un groupe de 12 hommes arrêtés en juin au cours d'une opération antibraconnage dans le Parc national Gorongosa, situé dans la province de Sofala (centre).
Le tribunal provincial a reconnu coupable les dix hommes mardi. L'un des suspects est mort en prison et le dernier ne s'est pas présenté au procès après avoir été mis en liberté sous caution.
Le juge principal, Martinho Muchiguere, a indiqué que les braconniers avaient agi «contre les efforts du gouvernement du Mozambique pour protéger l'environnement». Outre leur peine de prison, les condamnés devront payer à l'Etat 5% de leurs revenus minimum sur trois mois. (afp/nxp)