Par Seydou Guèye (Ministre Porte-parole du Gouvernement) :
Sous le prisme déformant d’un constat politicien, l’impact de l’incidence infrastructurelle sur la population sénégalaise peut paraître flou. Alors, il faut juste un éclairage trempé dans la réalité quotidienne pour comprendre que le Sénégal a fortement évolué depuis 2012 et à tous les niveaux.
Personne ne peut contester le renouveau infrastructurel et le recul des inégalités, qu’elles soient territoriales ou sociales,qui découlent d’une perspective sociétale clairement définie par le Président de la République Macky SALL, à travers le Plan Sénégal Emergent (PSE).
La distanciation critique du chercheur, qu’il soit économiste ou universitaire, ne peut prospérer que si son analyse s’inscrit dans la longue durée. Alors, il sera extrêmement difficile « d’attendre pour voir ». Car, le constat porte l’empreinte indélébile des réalisations du Président Macky Sall entre 2012 et 2016.
Nul ne peut réfuter sous le couvert de la propagande politique le processus de transformation structurelle de l’économie sénégalaise mis en œuvre par le Président Macky Sall et qui est en train de donner des résultats appréciables.
Sur la scène internationale, le modèle sénégalais d’une croissance vigoureuse et inclusive a fini par séduire les institutions financières internationales (FMI et Banque mondiale) convaincues de l’intelligence et de l’efficience de ce nouveau paradigme du développement. La stabilisation de notre taux de croissance au niveau 6 % explique les succès du nouveau cadrage macro-économique.
L’horizon infrastructurel tracé par le Président Macky Sall a pris forme avec les nouvelles routes, véritables supports de la territorialisation des politiques publiques de développement. Le prolongement du projet autoroutier vers AIBD et Sindia ou encore la construction de l’autoroute Ila Touba ne participent pas simplement à la fluidification de la circulation, puisque les gains de compétitivité tournent autour de 100 milliards de FCFA.
Une manne financière réinvestie dans l’ambitieux projet du TER qui devra battre tous les records en termes de transport de passagers dans la sous-région. Sans compter les nouvelles perspectives logistiques ouvertes par le hub triangulaire Diamniadio-Mbour-Thiès, en termes de plus-value compétitive.
« Pour y croire, il faut d’abord le voir »
Sur le plan social, l’absence de hausse sur les prix, la baisse des loyers, l’augmentation du pouvoir d’achat à partir de la baisse de la fiscalité, la valorisation des pensions de retraites ont permis aux Sénégalais d’apprécier les fruits de la croissance.
Par ailleurs, le combat contre la vulnérabilité a permis à plus de 300.000 ménages - environ 2.400.000 personnes - qui disposent d’un revenu minimum trimestriel de 25.000 FCFA. Cette nouvelle sécurité sociale a créé les conditions d’une renaissance socio-économique dans le monde rural adossée à une couverture maladie universelle qui offre la possibilité aux plus démunies de bénéficier de la gratuité des soins, avec une prise en charge médicale passant de 20 % à près de 60 % en 2016 ; avec un objectif de 75 % en 2017.
A titre d’illustration, 40.000 femmes ont bénéficié de la gratuité de la césarienne en 2014 réduisant le taux de mortalité à 127 naissances pour 100.000 alors que la moyenne africaine est à 210 décès maternels. Ce résultat est la conséquence du pari présidentiel portant sur la prise en charge des groupes vulnérables.
Le renforcement des moyens d’existence et des capacités productives des Sénégalais est l’illustration la plus parfaite de la dynamique de changement portée par le PUDC avec la réalisation de 790 km de pistes de production, la construction 157 forages et 68 châteaux d’eau déjà réceptionnés, la construction de 1.737 km de linéaire de réseau pour l’électrification rurale et l’accès à l’eau potable pour plus de 660 000 habitants. Alors, pour y croire, il faut d’abord le voir.
Sous le prisme déformant d’un constat politicien, l’impact de l’incidence infrastructurelle sur la population sénégalaise peut paraître flou. Alors, il faut juste un éclairage trempé dans la réalité quotidienne pour comprendre que le Sénégal a fortement évolué depuis 2012 et à tous les niveaux.
Personne ne peut contester le renouveau infrastructurel et le recul des inégalités, qu’elles soient territoriales ou sociales,qui découlent d’une perspective sociétale clairement définie par le Président de la République Macky SALL, à travers le Plan Sénégal Emergent (PSE).
La distanciation critique du chercheur, qu’il soit économiste ou universitaire, ne peut prospérer que si son analyse s’inscrit dans la longue durée. Alors, il sera extrêmement difficile « d’attendre pour voir ». Car, le constat porte l’empreinte indélébile des réalisations du Président Macky Sall entre 2012 et 2016.
Nul ne peut réfuter sous le couvert de la propagande politique le processus de transformation structurelle de l’économie sénégalaise mis en œuvre par le Président Macky Sall et qui est en train de donner des résultats appréciables.
Sur la scène internationale, le modèle sénégalais d’une croissance vigoureuse et inclusive a fini par séduire les institutions financières internationales (FMI et Banque mondiale) convaincues de l’intelligence et de l’efficience de ce nouveau paradigme du développement. La stabilisation de notre taux de croissance au niveau 6 % explique les succès du nouveau cadrage macro-économique.
L’horizon infrastructurel tracé par le Président Macky Sall a pris forme avec les nouvelles routes, véritables supports de la territorialisation des politiques publiques de développement. Le prolongement du projet autoroutier vers AIBD et Sindia ou encore la construction de l’autoroute Ila Touba ne participent pas simplement à la fluidification de la circulation, puisque les gains de compétitivité tournent autour de 100 milliards de FCFA.
Une manne financière réinvestie dans l’ambitieux projet du TER qui devra battre tous les records en termes de transport de passagers dans la sous-région. Sans compter les nouvelles perspectives logistiques ouvertes par le hub triangulaire Diamniadio-Mbour-Thiès, en termes de plus-value compétitive.
« Pour y croire, il faut d’abord le voir »
Sur le plan social, l’absence de hausse sur les prix, la baisse des loyers, l’augmentation du pouvoir d’achat à partir de la baisse de la fiscalité, la valorisation des pensions de retraites ont permis aux Sénégalais d’apprécier les fruits de la croissance.
Par ailleurs, le combat contre la vulnérabilité a permis à plus de 300.000 ménages - environ 2.400.000 personnes - qui disposent d’un revenu minimum trimestriel de 25.000 FCFA. Cette nouvelle sécurité sociale a créé les conditions d’une renaissance socio-économique dans le monde rural adossée à une couverture maladie universelle qui offre la possibilité aux plus démunies de bénéficier de la gratuité des soins, avec une prise en charge médicale passant de 20 % à près de 60 % en 2016 ; avec un objectif de 75 % en 2017.
A titre d’illustration, 40.000 femmes ont bénéficié de la gratuité de la césarienne en 2014 réduisant le taux de mortalité à 127 naissances pour 100.000 alors que la moyenne africaine est à 210 décès maternels. Ce résultat est la conséquence du pari présidentiel portant sur la prise en charge des groupes vulnérables.
Le renforcement des moyens d’existence et des capacités productives des Sénégalais est l’illustration la plus parfaite de la dynamique de changement portée par le PUDC avec la réalisation de 790 km de pistes de production, la construction 157 forages et 68 châteaux d’eau déjà réceptionnés, la construction de 1.737 km de linéaire de réseau pour l’électrification rurale et l’accès à l’eau potable pour plus de 660 000 habitants. Alors, pour y croire, il faut d’abord le voir.