Le président chinois Xi Jinping travaille à l'établissement des "nouvelles routes de la soie" depuis près de six ans. Au fil des ans, ce gigantesque programme d'investissement dans les infrastructures hors de Chine est devenu la vitrine des ambitions économiques mondiales de Pékin.
Le ralliement annoncé de l'Italie, vendredi 22 mars, à ces nouvelles routes de la soie marque une étape importante dans la réalisation de ce grand projet chinois. La troisième puissance économique européenne va devenir le premier membre du G7 – qui regroupe les sept principales puissances économiques occidentales – à soutenir l'initiative de Pékin. La décision italienne permet à Xi Jinping de faire aboutir "ses" routes de la soie là où l'aventure de la première route de la soie avait commencé il y a près de 1 000 ans avec Marco Polo.
Le président chinois a déjà réussi à rallier 72 pays à la version moderne de ce corridor économique et commercial. L'ambitieux projet de Pékin se compose d'une partie terrestre – avec l'établissement ou le financement de voies ferrées entre la Chine et l'Europe –, et d'un volet maritime, qui passe par des investissements dans des dizaines de ports de par le monde pour faciliter le commerce chinois.
Pour concrétiser sa vision, la Chine a investi 25 milliards de dollars (22 milliards d'euros) dans plus de cent projets d'infrastructure depuis 2013, a calculé le Mercator Institute for China Studies, un institut allemand de recherche qui suit l'évolution des routes de la soie. En tout, Pékin devrait dépenser plus de 1 000 milliards de dollars dans cet immense chantier. (france24)
Le ralliement annoncé de l'Italie, vendredi 22 mars, à ces nouvelles routes de la soie marque une étape importante dans la réalisation de ce grand projet chinois. La troisième puissance économique européenne va devenir le premier membre du G7 – qui regroupe les sept principales puissances économiques occidentales – à soutenir l'initiative de Pékin. La décision italienne permet à Xi Jinping de faire aboutir "ses" routes de la soie là où l'aventure de la première route de la soie avait commencé il y a près de 1 000 ans avec Marco Polo.
Le président chinois a déjà réussi à rallier 72 pays à la version moderne de ce corridor économique et commercial. L'ambitieux projet de Pékin se compose d'une partie terrestre – avec l'établissement ou le financement de voies ferrées entre la Chine et l'Europe –, et d'un volet maritime, qui passe par des investissements dans des dizaines de ports de par le monde pour faciliter le commerce chinois.
Pour concrétiser sa vision, la Chine a investi 25 milliards de dollars (22 milliards d'euros) dans plus de cent projets d'infrastructure depuis 2013, a calculé le Mercator Institute for China Studies, un institut allemand de recherche qui suit l'évolution des routes de la soie. En tout, Pékin devrait dépenser plus de 1 000 milliards de dollars dans cet immense chantier. (france24)