PARIS (Reuters) - Six Franco-Gabonais arrêtés lors des heurts qui ont suivi la proclamation des résultats de la présidentielle du 27 août au Gabon seront jugés dans le pays, a déclaré mercredi Ali Bongo, dont la réélection à la présidence est contestée.
Selon le fils d'Omar Bongo, ces suspects ont été arrêtés parmi des "casseurs" et des "pilleurs".
"Ces personnes se sont rendues coupables de méfaits sur le territoire gabonais, ils sont Gabonais et seront donc jugés au Gabon", écrit-il sur Twitter.
Mercredi matin, Ali Bongo avait affirmé que six personnes possédant les nationalités française et gabonaise avaient été arrêtées, tandis que la France évalue à une quinzaine le nombre de ses ressortissants dont elle est sans nouvelles.
Manuel Valls a demandé mardi au Gabon que "tout soit fait" pour les retrouver.
Selon le fils d'Omar Bongo, ces suspects ont été arrêtés parmi des "casseurs" et des "pilleurs".
"Ces personnes se sont rendues coupables de méfaits sur le territoire gabonais, ils sont Gabonais et seront donc jugés au Gabon", écrit-il sur Twitter.
Mercredi matin, Ali Bongo avait affirmé que six personnes possédant les nationalités française et gabonaise avaient été arrêtées, tandis que la France évalue à une quinzaine le nombre de ses ressortissants dont elle est sans nouvelles.
Manuel Valls a demandé mardi au Gabon que "tout soit fait" pour les retrouver.