Le président américain Donald Trump a fait un lien vendredi entre la hausse de la criminalité au Royaume-Uni et le terrorisme, s'aventurant une nouvelle fois sur un terrain qui lui a valu de vives critiques à Londres.
"Les chiffres viennent de tomber: la criminalité en hausse de 13% au Royaume-Uni sur fond de propagation du terrorisme islamique radical. Pas bon, nous devons assurer la sécurité de l'Amérique!", a-t-il lancé.
Ce tweet matinal a été diffusé peu après la publication de statistiques montrant une hausse de la criminalité sur les six premiers mois de l'année. Le rapport précise qu'une part importante de cette hausse pourrait être liée à un changement de méthode de comptabilisation.
Les précédentes prises de position de Donald Trump sur les actes terroristes au Royaume-Uni ont contribué à tendre les relations entre Washington et Londres.
Son dernier tweet sur le sujet, mi-septembre, après un attentat perpétré dans le métro londonien, lui avait valu une réponse cinglante de la Première ministre britannique Theresa May qui lui avait conseillé d'éviter de spéculer de manière hâtive sur les enquêtes en cours.
Quelques mois plus tôt, au lendemain d'attentats meurtriers à Londres, M. Trump s'en était pris avec virulence au maire Sadiq Khan --premier maire musulman de la capitale britannique-- l'accusant de minimiser la menace, de céder au "politiquement correct" et d'utiliser des explications "pathétiques".
"Les chiffres viennent de tomber: la criminalité en hausse de 13% au Royaume-Uni sur fond de propagation du terrorisme islamique radical. Pas bon, nous devons assurer la sécurité de l'Amérique!", a-t-il lancé.
Ce tweet matinal a été diffusé peu après la publication de statistiques montrant une hausse de la criminalité sur les six premiers mois de l'année. Le rapport précise qu'une part importante de cette hausse pourrait être liée à un changement de méthode de comptabilisation.
Les précédentes prises de position de Donald Trump sur les actes terroristes au Royaume-Uni ont contribué à tendre les relations entre Washington et Londres.
Son dernier tweet sur le sujet, mi-septembre, après un attentat perpétré dans le métro londonien, lui avait valu une réponse cinglante de la Première ministre britannique Theresa May qui lui avait conseillé d'éviter de spéculer de manière hâtive sur les enquêtes en cours.
Quelques mois plus tôt, au lendemain d'attentats meurtriers à Londres, M. Trump s'en était pris avec virulence au maire Sadiq Khan --premier maire musulman de la capitale britannique-- l'accusant de minimiser la menace, de céder au "politiquement correct" et d'utiliser des explications "pathétiques".