Washington - Donald Trump veut que le Congrès américain enquête sur des fuites de documents classifiés, après avoir réclamé ce week-end une semblable investigation sur des allégations de mise sur écoute par l'ex-président Barack Obama, a annoncé lundi la Maison Blanche.
Le porte-parole de l'exécutif, Sean Spicer, a ainsi affirmé s'être entretenu avec le président républicain sur cette affaire d'écoutes, qui a suscité le scepticisme sur la réalité des faits, et indiqué que Donald Trump souhaitait par ailleurs l'élargissement d'une enquête parlementaire séparée sur l'ingérence présumée de la Russie dans la présidentielle américaine.
Le président républicain de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Devin Nunes, avait pourtant déjà indiqué la semaine dernière que le thème précis de ces fuites de documents classifiés faisait partie des prérogatives de l'enquête sur l'interférence russe.
Le milliardaire Donald Trump avait surpris samedi en affirmant, sans fournir d'éléments de preuves, que son prédécesseur avait fait placer sur écoutes, un peu avant l'élection présidentielle de novembre, les lignes téléphoniques de la Trump Tower. C'est là que se trouvent son domicile et ses bureaux à New York.
Ces allégations avaient été catégoriquement réfutées par Barack Obama, par la voix de son porte-parole. Le chef du renseignement américain (DNI) de l'époque, James Clapper, avait lui affirmé qu'"aucune opération d'écoute" visant Donald Trump n'avait été mise en œuvre par les dix-sept agences sous son autorité.
Le porte-parole de l'exécutif, Sean Spicer, a ainsi affirmé s'être entretenu avec le président républicain sur cette affaire d'écoutes, qui a suscité le scepticisme sur la réalité des faits, et indiqué que Donald Trump souhaitait par ailleurs l'élargissement d'une enquête parlementaire séparée sur l'ingérence présumée de la Russie dans la présidentielle américaine.
Le président républicain de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Devin Nunes, avait pourtant déjà indiqué la semaine dernière que le thème précis de ces fuites de documents classifiés faisait partie des prérogatives de l'enquête sur l'interférence russe.
Le milliardaire Donald Trump avait surpris samedi en affirmant, sans fournir d'éléments de preuves, que son prédécesseur avait fait placer sur écoutes, un peu avant l'élection présidentielle de novembre, les lignes téléphoniques de la Trump Tower. C'est là que se trouvent son domicile et ses bureaux à New York.
Ces allégations avaient été catégoriquement réfutées par Barack Obama, par la voix de son porte-parole. Le chef du renseignement américain (DNI) de l'époque, James Clapper, avait lui affirmé qu'"aucune opération d'écoute" visant Donald Trump n'avait été mise en œuvre par les dix-sept agences sous son autorité.