C'est ce que lui avait proposé début décembre le principal syndicat de Tunisie afin de trouver des solutions à la situation économique et sociale difficile. Objectif : réunir tous les partis politiques et la société civile. Depuis le début du mois de décembre, l'Union général tunisienne du travail (UGTT) maintenait la pression sur le gouvernement et réclamait la tenue de ce dialogue national afin de trouver une issue aux crises politiques économiques et sociales qui secouent le pays.
Le président Tunisien s'est donc finalement entretenu hier avec le secrétaire général de l'UGTT, Noureddine Taboubi, entrevue durant laquelle il a approuvé l'organisation de ce dialogue « pour corriger le processus de la révolution qui a été dévié », précise la présidence dans un communiqué. Toujours selon la présidence, Kaïs Saïed a exigé la participation « des représentants de jeunes de toutes les régions de la République » dans ce dialogue. (RFI)
Le président Tunisien s'est donc finalement entretenu hier avec le secrétaire général de l'UGTT, Noureddine Taboubi, entrevue durant laquelle il a approuvé l'organisation de ce dialogue « pour corriger le processus de la révolution qui a été dévié », précise la présidence dans un communiqué. Toujours selon la présidence, Kaïs Saïed a exigé la participation « des représentants de jeunes de toutes les régions de la République » dans ce dialogue. (RFI)