"Mais il faut arrêter de donner ce spectacle et de dégrader cette République", s'est emporté le sénateur Hervé Marseille, au sujet des débats en cours sur la réforme des retraites.
Le président de l'Union des démocrates et indépendants (UDI), le sénateur Hervé Marseille, a accusé mercredi 8 février les Insoumis de transformer l'Assemblée nationale "en camp de gitans" pour s'opposer à la réforme des retraites, des propos qualifiés de "racistes" par LFI.
"L'image que donne en particulier LFI, est absolument effrayante", a affirmé à Radio J le centriste, qui dirige le parti créé en 2012 par Jean-Louis Borloo.
"Transformer l'Assemblée nationale en camp de gitans... Ce n'est pas les Saintes-Marie-de-la-mer!", a-t-il déploré.
"Quand on voit ces invectives permanentes, qu'on ne peut plus échanger, qu'on interrompt tout le monde", a déploré le sénateur des Hauts-de-Seine, qui fait partie de la majorité de droite au Sénat qui a approuvé à quatre reprises le relèvement de l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
"Que la rue s'exprime, oui. Qu'on en tienne compte, oui. Mais il faut arrêter de donner ce spectacle et de dégrader cette République", a-t-il insisté.
"L'Assemblée c'est la République: il y a des institutions, il y a une constitution, il y a des gens qui sont élus pour échanger et, à un moment donné, voter", a-t-il souligné. "Je suis très inquiet de la façon dont notre République se dégrade", a ajouté Hervé Marseille, qui a pris la présidence de l'UDI à la fin de l'année dernière.
Ses déclarations ont suscité des réactions offusquées des Insoumis: "Avec du racisme en plus ? La honte", a réagi le coordinateur de LFI Manuel Bompard.
"Ce mépris raciste doit être condamné unanimement... Cette violence verbale doit cesser", a renchéri le député Alexis Corbière.
Le président de l'Union des démocrates et indépendants (UDI), le sénateur Hervé Marseille, a accusé mercredi 8 février les Insoumis de transformer l'Assemblée nationale "en camp de gitans" pour s'opposer à la réforme des retraites, des propos qualifiés de "racistes" par LFI.
"L'image que donne en particulier LFI, est absolument effrayante", a affirmé à Radio J le centriste, qui dirige le parti créé en 2012 par Jean-Louis Borloo.
"Transformer l'Assemblée nationale en camp de gitans... Ce n'est pas les Saintes-Marie-de-la-mer!", a-t-il déploré.
"Quand on voit ces invectives permanentes, qu'on ne peut plus échanger, qu'on interrompt tout le monde", a déploré le sénateur des Hauts-de-Seine, qui fait partie de la majorité de droite au Sénat qui a approuvé à quatre reprises le relèvement de l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
"Que la rue s'exprime, oui. Qu'on en tienne compte, oui. Mais il faut arrêter de donner ce spectacle et de dégrader cette République", a-t-il insisté.
"L'Assemblée c'est la République: il y a des institutions, il y a une constitution, il y a des gens qui sont élus pour échanger et, à un moment donné, voter", a-t-il souligné. "Je suis très inquiet de la façon dont notre République se dégrade", a ajouté Hervé Marseille, qui a pris la présidence de l'UDI à la fin de l'année dernière.
Ses déclarations ont suscité des réactions offusquées des Insoumis: "Avec du racisme en plus ? La honte", a réagi le coordinateur de LFI Manuel Bompard.
"Ce mépris raciste doit être condamné unanimement... Cette violence verbale doit cesser", a renchéri le député Alexis Corbière.