CARACAS (Reuters) - Une partie du Venezuela, dont plusieurs quartiers de la capitale Caracas, était plongée dans le noir lundi soir en raison d'une interruption de l'alimentation électrique, deux semaines après un précédent "black-out", a indiqué un journaliste de Reuters sur place.
La plupart des quartiers est et du centre de la capitale, où se trouvent le palais présidentiel de Miraflores et les principaux ministères, étaient privés de courant.
Le métro de la ville a été fermé pour ce motif.
Selon le journaliste de Reuters, plusieurs Etats de l'ouest du pays se trouvent dans une situation similaire bien que la ville de Puerto Ordaz dans le sud et certains quartiers de Valencia, troisième agglomération du pays, ne soient pas concernés par cette panne.
Les commerces ont fermé plus tôt lundi afin de prévenir d'éventuels actes de pillage.
Selon le ministre vénézuélien de l'Information, cette panne a été provoquée par une attaque contre le principal barrage hydroélectrique du pays.
Le Venezuela avait déjà connu un "black-out" de cette ampleur le 7 mars et les services n'avaient été rétablis qu'au bout de quatre à six jours dans les grandes villes.
Cet incident s'était traduit par de nombreux pillages et avait brièvement paralysé les exportations pétrolières.
Le président Nicolas Maduro avait affirmé que cette première coupure de courant avait été provoquée par un sabotage informatique commandité par Donald Trump mais, selon des ingénieurs, la cause était plus probablement un problème technique dans les lignes à haute tension reliant la centrale hydroélectrique de Guri au réseau national.
La plupart des quartiers est et du centre de la capitale, où se trouvent le palais présidentiel de Miraflores et les principaux ministères, étaient privés de courant.
Le métro de la ville a été fermé pour ce motif.
Selon le journaliste de Reuters, plusieurs Etats de l'ouest du pays se trouvent dans une situation similaire bien que la ville de Puerto Ordaz dans le sud et certains quartiers de Valencia, troisième agglomération du pays, ne soient pas concernés par cette panne.
Les commerces ont fermé plus tôt lundi afin de prévenir d'éventuels actes de pillage.
Selon le ministre vénézuélien de l'Information, cette panne a été provoquée par une attaque contre le principal barrage hydroélectrique du pays.
Le Venezuela avait déjà connu un "black-out" de cette ampleur le 7 mars et les services n'avaient été rétablis qu'au bout de quatre à six jours dans les grandes villes.
Cet incident s'était traduit par de nombreux pillages et avait brièvement paralysé les exportations pétrolières.
Le président Nicolas Maduro avait affirmé que cette première coupure de courant avait été provoquée par un sabotage informatique commandité par Donald Trump mais, selon des ingénieurs, la cause était plus probablement un problème technique dans les lignes à haute tension reliant la centrale hydroélectrique de Guri au réseau national.