Les inscriptions sont maintenant ouvertes pour les 7e Prix africains de fact-checking, le seul événement qui récompense, chaque année, le journalisme par des médias basés en Afrique dans le domaine en pleine croissance de la vérification des faits.
Les Prix continuent de grandir. En 2019, nous avons reçu un total de 153 candidatures de plus de 20 pays – dont l’Éthiopie, le Nigéria, le Sénégal, l’Égypte, l’Afrique du Sud et le Zimbabwe. Au cours de l’année inaugurale de ces Prix, en 2014, nous avons reçu des candidatures d’environ 40 journalistes de 10 pays.
Partout dans le monde, la pandémie de la Covid-19 a déclenché un flot de fausses informations dangereuses. L’Organisation mondiale de la santé affirme que la pandémie s’est accompagnée de ce qu’elle qualifie d’infodémie : « une surabondance d’informations – certaines exactes et d’autres non – qui rend difficile pour les gens de trouver des sources et des conseils fiables lorsqu’ils en ont besoin ».
La pandémie a renforcé les enjeux dans la lutte contre la désinformation, exigeant que les médias jouent un rôle encore plus actif dans la séparation des faits de la fiction.
« Les décisions liées à la santé étant parfois une question de vie ou de mort, un bon journalisme de vérification des faits est vital – maintenant plus que jamais. La qualité des informations diffusées en public peut déterminer les résultats de vie de nombreuses personnes et il est donc de la responsabilité des médias de s’abstenir d’être des vecteurs de désinformation », explique Noko Makgato, le directeur exécutif d’Africa Check.
« Chaque année, nous constatons un intérêt croissant pour la vérification des faits, comme en témoigne le nombre d’organisations qui ont émergé concentrant leurs efforts sur la déconstruction d’affirmations préjudiciables dans différentes parties du continent. Nous pensons que cela renforce la qualité du débat public et, espérons-le, améliore la qualité de vie à travers le continent ».
En raison de l’intérêt croissant pour la vérification des faits sur le continent, Africa Check prévoit une augmentation de la quantité et de la qualité des candidatures en 2020.
Les catégories de cette année sont les suivantes :
** Fact-check de l’année par un journaliste en activité
** Fact-check de l’année par un étudiant en journalisme
** Finaliste de l’une des deux catégories ci-dessus
Les contenus soumis par les candidats doivent avoir été publiés ou diffusés pour la première fois entre le 1er août 2019 et le 22 juillet 2020.
Ces contenus doivent avoir exposé une affirmation trompeuse ou erronée – sur un sujet important – faite par une personnalité ou une institution publique en Afrique.
Le lauréat du Prix du fact-check de l’année par un journaliste en activité recevra une somme de 3 000 $, tandis que le finaliste recevra 1 500 $. Le lauréat du Prix du fact-check de l’année par un étudiant en journalisme recevra 2 000 $ et le finaliste 1 000 $.
Clôture des inscriptions le 22 juillet 2020 à minuit GMT. Pour plus d’informations sur comment postuler ou sur les termes et conditions, consultez le site Internet d’Africa Check.
Les Prix continuent de grandir. En 2019, nous avons reçu un total de 153 candidatures de plus de 20 pays – dont l’Éthiopie, le Nigéria, le Sénégal, l’Égypte, l’Afrique du Sud et le Zimbabwe. Au cours de l’année inaugurale de ces Prix, en 2014, nous avons reçu des candidatures d’environ 40 journalistes de 10 pays.
Partout dans le monde, la pandémie de la Covid-19 a déclenché un flot de fausses informations dangereuses. L’Organisation mondiale de la santé affirme que la pandémie s’est accompagnée de ce qu’elle qualifie d’infodémie : « une surabondance d’informations – certaines exactes et d’autres non – qui rend difficile pour les gens de trouver des sources et des conseils fiables lorsqu’ils en ont besoin ».
La pandémie a renforcé les enjeux dans la lutte contre la désinformation, exigeant que les médias jouent un rôle encore plus actif dans la séparation des faits de la fiction.
« Les décisions liées à la santé étant parfois une question de vie ou de mort, un bon journalisme de vérification des faits est vital – maintenant plus que jamais. La qualité des informations diffusées en public peut déterminer les résultats de vie de nombreuses personnes et il est donc de la responsabilité des médias de s’abstenir d’être des vecteurs de désinformation », explique Noko Makgato, le directeur exécutif d’Africa Check.
« Chaque année, nous constatons un intérêt croissant pour la vérification des faits, comme en témoigne le nombre d’organisations qui ont émergé concentrant leurs efforts sur la déconstruction d’affirmations préjudiciables dans différentes parties du continent. Nous pensons que cela renforce la qualité du débat public et, espérons-le, améliore la qualité de vie à travers le continent ».
En raison de l’intérêt croissant pour la vérification des faits sur le continent, Africa Check prévoit une augmentation de la quantité et de la qualité des candidatures en 2020.
Les catégories de cette année sont les suivantes :
** Fact-check de l’année par un journaliste en activité
** Fact-check de l’année par un étudiant en journalisme
** Finaliste de l’une des deux catégories ci-dessus
Les contenus soumis par les candidats doivent avoir été publiés ou diffusés pour la première fois entre le 1er août 2019 et le 22 juillet 2020.
Ces contenus doivent avoir exposé une affirmation trompeuse ou erronée – sur un sujet important – faite par une personnalité ou une institution publique en Afrique.
Le lauréat du Prix du fact-check de l’année par un journaliste en activité recevra une somme de 3 000 $, tandis que le finaliste recevra 1 500 $. Le lauréat du Prix du fact-check de l’année par un étudiant en journalisme recevra 2 000 $ et le finaliste 1 000 $.
Clôture des inscriptions le 22 juillet 2020 à minuit GMT. Pour plus d’informations sur comment postuler ou sur les termes et conditions, consultez le site Internet d’Africa Check.